334 VARIANTES DES SCYTHES.
Page 307, vers 6. — Lettre à d’Argeiital, du 24 novembre 17GG :
Par nous-même apprêté nous porto un coup mortel ; Mais lorsque sans secours, à. mon âge, on rassemble Dans un e\.il affreux tant do malheurs ensemble.
Page 311, vers 23. — Lettre à Lekain, du 20 février 1767 : Insensible au mérite et même tyrannique.
Page 314, vers -19 :
Appui de ma vieillesse, Viens, mon fils, mon cher fils, combler mon allégresse. Tout est prêt, on t’attend.
Page 322, vers 4 :
SOZA ME.
Je vous l’ai déclaré ; Je révère un usage antique et consacré. Mais il est dangereux : les Persans sont à craindre ; A se venger sur vous vous allez les contraindre.
Une autre version est donnée par la lettre à Lekain, du 2 ’mars 1767 :
B É 1 D E.
Je n’en apprends que trop.
SOZAME.
Je vous l’ai déclaré ; Je respecte un usage en.ces lieux consacré : Mais des sévères lois par vos aïeux dictées Les tètes de nos rois pourraient être exceptées.
LE SCYTHE.
Plus les princes sont grands, etc.
Page 324, vers 4 4. — Dans la lettre à Lekain, du 23 février 1707 : Vous voyez, vous sentez quel meurtre se prépare.
Page 320, vers 19 :
tout est résolu.
SOZAME.
Tu me glaces d’horreur.
Je ne sais à quelle scène appartenait le vers dont on trouve deux versions dans la lettre à d’Argental, du 11 février 1767. (B.)
FIN DES VARIAMES DES SCYTHES.