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et l’autre pour être de profonds connaisseurs dans cette partie ; nous attendons incessamment un successeur au trône, dont nous espérons un nouvel âge d’or ; je pense qu’alors j’aurai à vous entretenir de sujets plus agréables pour une femme.
Adieu, ma chère Lucie ! Chargez-vous de mes tendres et respectueux sentiments pour ma mère, et recevez les embrassements affectueux de votre
Édouard Rivers.
LETTRE III.
John Temple, au colonel Rivers,
son ami.
En vérité, mon cher Édouard, je tombe en admiration devant vous ; former un peuple dans les contrées sau-