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Page:Wagner - La Tétralogie de l’Anneau de Nibelung, 1894.djvu/143

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DES CYCLES GERMANIQUES

ET SCANDINAVES

DANS

LA TÉTRALOGIE

DE

RICHARD WAGNER

SOMMAIRE

I.-II. Le Nibelunge-nôt et les Eddas ; leur substance historique ; élaborations qui ont fixé ces poèmes.

III. - Traces de Panthéisme scandinave laissées en Allemagne par le Nibelunge-nôt et par les Eddas.

IV. Wagner parmi ce Panthéisme. Il en prend, pour les mettre dans son œuvre, les deux grands aspects : Chute et rédemption. Etude critique de la Tétralogie, à ce point de vue. Psychologie de l’œuvre.

DÉTAIL

Le Nibelunge-nôt : trois séries de chants, de sagas, composent ce poème sagas burgondes, avec Gunther ; franques, avec Siegfried ; gothiques, avec Théodoric. Notes sur Gunther ; sur Siegfried, sur Théodoric. - Ces sagas sont recueillies par les Moines entre leurs mains, latinisation de l’épopée barbare : pourquoi. - Ce qui, pourtant, subsiste dans le poème : le plus vieux et le plus fort symbole : l'Or. Les Deux Eddas. Recension islandaise des Eddas Sœmund ; Snorri. - Note sur les possibles rédactions antérieures des sagas qui composent tes Eddas : Skaldes. Les Skaldes sont les conservateurs des éléments mythiques scandinaves, défigurés par le génie latin (je ne dis pas chrétien), dans l’Europe centrale. - Les chants héroïques en circulation, dés le ve siècle, dans l’Europe centrale. se combinent, lorsqu’ils remon-