AVAxr-pnopos Du TnAnccTRun ’75 tion ~M vrai sens de fA/~ parmi ~o~s ecKj ? ~Mt poKraient le comprendre (1). Cet ej ?p~e serait libre de toutes les influences anti-artistiques et des dépendances de la misérable scène conventionnelle qui n’était capable que d’oS’rir aujourd’hui ses pompeuses attractions à un public composé des éléments les plus divers, sans aucun sens artistique, et de les présenter dans une forme fugitive (2t. Alors, p&r la conquête graduelle sur le public qui serait attiré vers cet Art, l’espr~ national richement doté pourrait être aidé à déployer ses forces et à se délivrer de ses chaînes, cet esprit 7K~’o/~ qui, à présent, malgré ses nombreuses entraves et la grossièreté des influences 7’ëa~’s~s qui l’entouraient, me- naçait de tomber dans une dégénérescence de plus en plus profonde (3) Mais encore fallait-Il parvenir à ce public et comment, puisqu’il n’y avait rien à espérer des scènes allemandes contemporaines « Je concevais fort bien que la chose fut possible, et c’était assez, en l’absence absolue de toute idée de l’opéra moderne, pour flatter mon imagination, élever mes facultés, me débarrasser de toute fantaisie de réussir au théâtre, et me décider à suivre complètement, comme pour me guérir des soun’rances cruelles que j’avais endurées, ma propre nature ( Dc/~K~s ~Me /ac’o~’s c<ë~c~ë mon esprit </e toute ~cc/°~7M~e de toute eo~/KStO~ par mes ee~.s </<ëo-y /~Mes, j’étais capable une fois encore de marcher dans la voie que j’avais commencé à prendre avec une contiance d’artiste, pour donner à mes Idées une forme telle quejo l’avais Imaginée mol-mémo. Q«atn~y’a/ rai « : /~pre elle-même, la manière ~/ts ~t~Mf~c elle devait être un /OK/’ représentée prit ~MS8/~n~< ? dans (1) L’CE«urc la .VtMtonde <Ma p. M. (~ Id., p. <t2. (3)Id., p. < ;3..
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