Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/101

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a priori diaboliques, car de telles hypothèses sont déraisonnables. En ce moment, il y a des écrivains en France qui soutiennent que le mot anglais God est l’équivalent de Lucifer, mais on n’entre pas en débat avec eux. Pour la satisfaction de mes lecteurs, il serait peut-être aussi utile de dire que le volumineux traité de Mgr Meurin est né parce qu’il a découvert, on pourrait dire par hasard, que le nombre 33, qui est celui des degrés de franc-maçonnerie française, est le nombre des divinités dans les Védas, cela menant à soupçonner que les mystères de la franc-maçonnerie sont liés à ceux de l’antiquité. Bien sûr, ils se rattachent à l’antiquité, pour la simple raison qu’il existe une certaine unité entre tous les symbolismes et, en outre, il est parfaitement clair que la franc-maçonnerie a hérité d’une tradition perpétuée de longue date, ou bien y a fait des emprunts. Mgr Meurin avait donc aussi peu de raisons de s’étonner de la justesse de son hypothèse au moment où il l’établissait, qu’il n’en avait de se réjouir de la déduction qui domine tout au long de son enquête, à savoir :