Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/241

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Boaz, il n’y a pas une seule page dans toute cette vaste compilation qui montre un lien quelconque entre le satanisme et la franc-maçonnerie, à part à la fin, lorsqu’un emprunt adroit est prélevé dans le bien plus vaste entrepôt du docteur Bataille. L’auteur nous dit assez clairement comment la maçonnerie adoptive est née, quels rites ont été institués, quels rituels sont publiés, ce qui est contenu dans ceux-ci, et tout est solide et instructif. Comme il a déjà été indiqué, ses faits sont des faits empruntés, mais ils proviennent de sources très diverses. On ne pouvait guère s’attendre à des recherches originales de la part d’un écrivain à qui les voies de la connaissance sont fermées par son manque d’initiation. Il conclut cependant que la maçonnerie d’adoption est satanique par intention et que même les orphelinats de la fraternité font partie d’un dessein profond et infâme de corrompre les enfants de l’humanité et de parfaire des prosélytes pour la perdition.

La parution de La Femme et l’enfant dans la franc-maçonnerie universelle a été saluée avec acclamation dans les colonnes de la Revue Mensuelle ; elle en a fait des critiques ennuyeuses,