Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/243

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est l’une des palladistes les plus en vue d’Angleterre — exemple de calomnie absurde qui se réfute elle-même.

M. de la Rive doit donc, sur tous les points de sa déposition, être exclu de la liste des témoins. Personne ne nie l’existence de loges d’adoption dans quelques pays et dans des circonstances spéciales, et aucune personne sensée ne leur attribue une importance quelconque. La franc-maçonnerie en tant qu’institution n’est pas plus adaptée aux femmes que le cricket en tant que sport, mais elles ont parfois souhaité y jouer comme elles ont souhaité jouer au cricket ; l’occasion leur a été offerte, mais, à part un effet de mode, elle n’a mené à rien. Cela n’aurait d’ailleurs aucune importance pour notre enquête si l’on pouvait prouver que le véritable chef de la Grande Loge en Angleterre est la princesse de Galles et non son royal mari ; en ce qui concerne l’existence du culte du diable, M. de la Rive n’a rien de nouveau à nous dire, ni rien de première main. Je demande donc l’autorisation de le renvoyer, en espérant qu’il consacrera une autre année laborieuse à la réédition de rituels maçonniques, authentiques ou non, au prix extrêmement modéré qu’il demande pour son premier volume ;