Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/299

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de Mr R. S. Brown marque Diana Vaughan d’une honte indélébile aux yeux du monde civilisé.

Il y a une limite à ces réfutations, mais si Mlle Vaughan manifestait le désir d’avoir d’autres preuves de la fausseté de ses déclarations, je m’engage à les lui fournir. J’ajouterai seulement ici en conclusion mon opinion personnelle selon laquelle Mlle Vaughan n’a jamais vécu dans un pays anglophone, et encore moins qu’elle ait reçu, comme le prétendent certains de ses amis, une éducation américaine. La preuve en est qu’elle fait des erreurs françaises typiques sur des noms anglais. Ainsi, nous avons chaque fois « Cambden » pour Camden, « Wescott » pour Westcott ; nous avons « baronnet » pour baronet, « Cantorbéry » pour Canterbury, « Kirkud-Bright » pour Kirkcudbright ; nous avons des combinaisons hybrides comme « Georges » Dickson, des impossibilités comme le « Tiers-Ordre Luciférien d’Honoris Causa » et de nombreux exemples similaires.

Voir Diana dévoilée était équivalent, en terminologie alchimique, à atteindre le magnum opus. L’auteur réputé de New