Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/313

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Mgr Meurin, le témoin suivant, mérite, par sa position et sa compétence, notre très sincère respect ; comparativement au sentimentalisme sénile de Jean Kostka, à la violence de M. Margiotta et au pot-pourri de M. de la Rive, on respire à pleine poitrine dans les hauteurs de l’érudition ecclésiastique, artificielles à la mesure de leur éminence ; l’art sacerdotal ne se préoccupe pas d’histoires absurdes, de sorte qu’il ne vient pas chasser sur les terres de Bataille ; comme il n’a jamais eu besoin de se convertir, il se dispense des ardeurs et des langueurs hystériques de Diana Vaughan. Mais l’interprétation de la franc-maçonnerie par l’archevêque est basée sur une interprétation de la littérature kabbalistique qui ne peut être acceptée par aucune personne bien informée, et qu’il n’aurait même pas tentée s’il avait eu des connaissances de première main sur le sujet. En ce qui concerne la maçonnerie palladique, il ne peut nous dire que ce qu’il a appris de Ricoux.

Il est convenu de tous points de vue que nous pouvons ignorer le Dr Bataille. Il ne divulgue pas le nom et la nation qu’il a adoptés au cours de sa carrière maçonnique et, par conséquent, les personnes qu’il déclare