Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/88

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

forte », il fit face à ses accusateurs avec vigueur et leur rendit coup pour coup. Il ne manquait pas non plus de défenseurs laïcs, dont l’un devint lui-même, de façon inattendue et de la même manière que Taxil, témoin de Lucifer.

Léo Taxil donnait deux conseils avisés à ceux qui ne croient pas en l’existence de la franc-maçonnerie féminine : allez à la Bibliothèque Nationale, recherchez dans les archives de la revue maçonnique La Chaine d’Union et vous constaterez votre erreur de manière irréfutable. Allez ensuite à la Maison T…, il n’est pas nécessaire de reproduire l’adresse, mais celle-ci est donnée en entier par Léo Taxil et on vous donnera le catalogue du mobilier de loge, des insignes et d’autres accessoires, des tabliers pour les sœurs, des diplômes pour des sœurs, des jarretières pour des sœurs, des bijoux pour des sœurs. Le catalogue ne propose pas les signes d’initiation, mais au vu de la littérature, les signes ne sont plus secrets.

Tout cela est clairement en dehors du sujet du satanisme, mais il conduit néanmoins à la découverte de M. Ricoux. En ce qui concerne l’homme