Page:Walch - Poètes d’hier et d’aujourd’hui, 1916.djvu/135

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Le vieillard fut heureux tellement qu’au visage
Il eut, signe du Dieu qui l’avait visité,
Comme un rayonnement plus beau que la beauté.
. . . . . . . . . . . . . . . . . .

(Beauté.)