Page:Waller - La Flûte à Siebel, 1891.djvu/100

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Tandis qu’en la campagne, au loin,
En cantiques s’ouvrent les gerbes,
Le vent très doux courbant les herbes,
Je reste placide en mon coin,

Avec une secrète envie
D’aller prier aussi — pour voir,
Et de m’éteindre dans le soir
Sans aucun regret de la vie !