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Restons-en là, c’est inutile
De nous perdre tous deux parmi
Les chemins fleuris de l’idylle,
Puisque vous ne m’aimez pas. MI.
Le premier amant, je l’envie,
Qui de vos dédains triompha ;
Je le tuerai toute ma vie
Dans le fond de moi-même. FA.
Avec lui vous étiez câline
Sous la pudeur du parasol ;
C’était doux comme une praline
De croquer ce poème ! SOL.
Il vous disait des mots sans suite,
Des mots stupides, mais voilà !
Il était moins banal ensuite,
Et c’était délicieux ! LA.