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Page:Waller - Lysiane de Lysias, 1885.djvu/166

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XIII

Un matin retentit dans le vestibule un vigoureux’coup de sonnette. Jacques se réveilla en sursaut ; des éclats de rire suivirent, tandis que la porte du salon s’ouvrait. La voix de Greta se mêlait à une grosse voix inconnue. Ferrian s’habilla et descendit.

o Jacques, c’est Friedrich Rœhre, tu sais, mon cousin Fritzchen, le hussard ! Oh ! il parle français très bien, n’est-ce pas, Fritzchen ? »

— Très heureux de vous recevoir, monsieur ; Greta parle souvent de vous ; nous dînons ensemble, n’est-ce pas ?

Le cousin était un beau grand gars, à la figure joufflue, un peu bête, qui tournait son chapeau dans ses fortes mains de soldat, en balbutiant quelque chose : « Très content… oui…