Page:Weckerlin - Chansons et rondes enfantines, Garnier, 1870.djvu/73

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


C’est la mer’ Michel
Qui lui a demandé :

Mon chat n’est pas perdu !
Vous l’avez donc trouvé ?

Et l’compèr’ Lustucru
Qui lui a répondu :

Donnez un’ récompens’,
Il vous sera rendu.



Et la mère Michel
Lui dit : c’est décidé,

Rendez-le-moi, mon chat.
Vous aurez un baiser.

Le compèr’ Lustucru
Qui n’en a pas voulu,

Lui dit : pour un lapin
Votre chat est vendu.