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Page:Weckerlin - Chansons et rondes enfantines, Garnier, 1870.djvu/79

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Une des fillettes se cache et fait le loup. Une autre est la biche, et le reste de la troupe la suit en se tenant par la robe. Quand le loup sort de sa cachette, il cherche à s’emparer d’une des fillettes qui sont à la queue de la biche ; celle-ci les défend du mieux qu’elle peut, mais le loup finit toujours par être le plus fort et s’empare successivement de toutes les suivantes de la biche ; quand toutes sont prises, le jeu est fini.

L’air est à peu de chose près celui des Cloches de Vendôme.