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Page:Weil - Attente de Dieu, 1950.djvu/59

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de penser à moi. Mon affaire est de penser à Dieu. C’est à Dieu à penser à moi.

Cette lettre est bien longue. Une fois de plus, je vous aurai pris beaucoup plus de temps qu’il ne convient. Je vous en demande pardon. Mon excuse est qu’elle constitue, au moins provisoirement, une conclusion.

Croyez bien à ma très vive reconnaissance.


Simone Weil.