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Page:Weustenraad - Poésies lyriques, 1848.djvu/235

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À LA STATUE DE LA PATRIE


1846.


 
Chaque peuple, à son tour, ceindra le diadème.



Parmi les monuments élevés par nos pères,
Parmi les temples saints, les palais séculaires,
Les gigantesques tours au belliqueux beffroi,
Mon œil, noble Statue, en remontant l’histoire,
Cherche en vain un trophée adopté par la gloire,
Qui parle au cœur plus haut que toi.