Page:Weustenraad - Poésies lyriques, 1848.djvu/76

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Laissons au gré des vents dériver le navire,
Les bords, des deux côtés, sont hérissés d’écueils ;
Des deux côtés s’étend le ténébreux empire
D’une plus vaste nuit que la nuit des cercueils.