Page:Weustenraad - Poésies lyriques, 1848.djvu/94

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Tout comblé des faveurs de tes bontés suprêmes,
Je n’irai plus, alors, planter ton étendard
Au milieu des combats de tant de vains systèmes
Qui luttent, pour une ombre, au milieu d’un brouillard ;
Je m assiérai, content, sous ton riant portique,
Tu me rendras ton luth, pur comme tes attraits,
Et je couronnerai ton repos poétique
De chants dignes de tes bienfaits.