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Page:Wiele - Lady Fauvette.djvu/230

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passage est difficile, tant est étroite la route que l’homme traverse avec ses illusions ; le plus souvent il n’y a place que pour lui seul et elles s’envolent à la première halte, effarées, inquiètes, comme des oiseaux devant le danger.

Ce qu’ils se dirent ?… je ne sais pas. Les chevaux allaient toujours plus vite, plus vite ; la neige continuait à tomber et le paysage se perdait, uniformément blanc, dans les fuites du lointain et de l’ombre.