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anagkaiô ; d’echei
bion therixein ôste karpimon stachun
kai ton men einai ton de mê.
Tu sais tout : je cherche en vain quelle terre il faut labourer, quelle autre ensemencer avec du grain. Le sol est noir de ronces et de mauvaises herbes et n’a cure des larmes qui tombent ou de la pluie.
Tu sais tout : moi je reste assis, à attendre, les yeux bandés, les mains défaillantes, jusqu’à ce qu’enfin se lève le dernier voile, et que s’ouvre pour la première fois la porte.