Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/86

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plaisirs de sa cité d’or et de son jour éternel. Ah ! Silence ! derrière les barreaux qui obscurcissent ma prison, je possède ce que nul ne peut m’enlever, mon amour, et toute la gloire des étoiles.