Page:William Morris - Nouvelles de Nulle Part.djvu/231

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la tristesse de la vie, qui contribuait à former ma sévère appréciation de l’histoire, sur la tyrannie et la lutte pleine d’effroi et d’écueils qui contribuait à former ma fiction. Le seul poids que j’avais sur le cœur était une crainte vague, à mesure qu’approchait le moment du coucher, sur le lieu où je me réveillerais le lendemain : mais j’étouffai cette crainte, je me couchai heureux et en quelques instants je m’endormis sans rêve.