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II
Il y avait trois jours que Philippe était arrivé quand Samuel Alibert dit à madame Martin d’Oyse :
— Notre petite sœur Fanchette nous écrit qu’elle vient passer avec nous ses vacances. Elle est très fatiguée par ses cours. Malheureusement nous pourrons peu nous occuper d’elle, et nous craignons qu’elle se trouve isolée dans l’appartement. Nous ne saurions pas assez vous remercier, madame, si vous lui permettiez quelquefois de descendre chez vous.
— Oh ! la pauvre petite ! s’écria madame Martin d’Oyse en joignant ses belles mains,