Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/200

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ment, je sais que ma famille doit infiniment à vos frères. Mais ils n’ont rien à voir pour cela dans la conduite de ma vie.

Cette fois elle rougit légèrement.

— Dans trois jours je serai à Paris, dit-elle.

Philippe montra les nuages :

— Demain, je serai là.