Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/321

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plus critique de ma vie, vous m’avez apporté l’aide de votre or, de vos capacités. Alliés avec nous contre le sort, vous en avez triomphé. Grâce à vous, la ruine fut conjurée et je m’enrichis aujourd’hui. Je vous dois tout, à mon sens, de ce que je possède. Mais je n’ai pas licence pour disposer à votre profit du patrimoine spirituel de ma famille. Je n’ai déjà que trop mal défendu contre vous la figure de ce beau château qui appartient toujours aux Morts autant qu’à moi. Vous n’emporterez pas hors de ses murs ce qui en est le cœur toujours palpitant et qui demeure le signe de l’impérissable honneur des Martin d’Oyse.