Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/49

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qu’elle poursuivait en silence, finit par se dégager des bras d’Élie en disant :

— Ce qu’il nous aurait fallu ici, c’eût été mes cousins Alibert.

— À cause de leurs capitaux ? demanda distraitement Élie.

— À cause de leurs capitaux, et aussi à cause de leur sens industriel, si je puis dire. Ces deux garçons-là, Samuel et Frédéric, ils ont pris, raffinements en plus, toute la tournure d’esprit de grand-papa Boniface et jusqu’à son merveilleux penchant aux affaires. Voilà des associés de tout repos !

Mais son mari ne la suivait plus :

— Que la filature aille au diable, chérie ! Je n’aime que toi…