Page:Yver - Mirabelle de Pampelune.djvu/255

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— Je devais l’épouser demain.

— Quoi donc ? s’écrie, là-bas, l’adjudant Matheau, on ne tire plus ? Allons, au fusil !

L’ordre se propage, d’homme en d’homme, le long de la tranchée : « Au fusil ! au fusil ! » De nouveau le crépitement recommence. On tire, cependant que des ombres chéries continuent de flotter dans le clair de lune…