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Page:Yver - Monsieur Dominique.djvu/81

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Mlle Sauge et de Mme Crispin, lesquelles vinrent sur leurs portes les admirer.

Lambert, qui « tenait à obliger M. Pascal », ne voulut rien recevoir de Mme Béatrix. Les enfants riaient aux éclats ; la locomotive sifflait, prête à s’ébranler.

Tout ce monde grimpa à grand’peine dans un compartiment de troisième classe. Et aussitôt les massifs véhicules s’élancèrent en longue file sur les rails minces qui serpentaient à travers la Sologne. Les arbres et les toits de Sainte-Solange disparurent vite ; Mme Béatrix s’essuya les yeux et leur lança un dernier regard.