Du reste, la troisième s’impose, quand on a pour tout bien quelques louis. C’est mon cas, et le bagage est léger et le velours du vêtement rustique.
En troisième on rencontre peu de monde voyageant pour le plaisir : ce ne sont que pauvres gens que l’on rapatrie, ouvriers espérant trouver du travail loin de leur ville.
Pas de touristes.
Ceux-là veulent avoir leurs aises et du confort, même les plus modestes. Ils préfèrent attendre et grossir des cagnottes à l’effet de prendre au moins la seconde classe ; ils s’embarquent la sacoche garnie, porteurs d’un billet circulaire et de coupons variés pour les hôtels prescrits. L’inappréciable avantage des troisièmes est de ne les point coudoyer.
Jamais plus qu’en la majesté du large l’insipide bavardage des Périchons n’est lamentable.
Cela ressemble à une poursuite…
Et mieux vaut le puéril entretien des passa-