Page:Zo d’Axa - Endehors.djvu/216

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Ici, un mot se place forcément. J’ai dit qu’ils étaient légion les auteurs dramatiques, fournisseurs attitrés des théâtres du boulevard du Crime.

Ils s’appellent Dennery, Paul Féval ou Jules Mary.

Ils s’appellent aussi, paraît-il, Dellard !

Le fils de l’égorgée — cet homme calomnié comme fils — des journaux le prônent comme écrivain et cela parce qu’il serait l’auteur de quelques-uns de ces mélodrames d’estoc et de taille et de poignard…

À la suite de quelle pièce, peut-être, un spectateur des secondes galeries a-t-il fait l’horrifiante visite à la demeure du dramaturge Dellard ?


Autour du crime nous avons surpris les tâtonnements bêtes de la police avec l’histoire du parapluie, les opérations de la presse en ses insinuations suspectes, l’entraînement du public au sens faussé par un art théâtral vulgaire — il reste quelques lignes à écrire :