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Page:Zo d’Axa - Endehors.djvu/231

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Longtemps les anti-militaires — même les plus vigoureux — gardèrent pour l’intimité le tréfonds de leurs rancœurs. Parmi les écrivains qui combattirent le préjugé soldat, il en est nombreux qui, le moment de s’expliquer venu, ont prétendu flétrir les tares de quelques-uns, bien qu’estimant le caractère des autres.

Une défaite.

Dès qu’une conviction est ancrée, je n’aime pas que l’on ratiocine.

Combien est plus simplifiant d’avoir l’audace du parti pris.

Nous l’aurons :

C’est la bête sacrée, toute la bête — plumes, panache et ferraille, conseils de guerre, supplices d’enfants, angoisse des vieux… monstre à l’affût — a-t-on compris ? c’est toute la bête que nous visons loyalement et sans que nos doigts tremblent.


Et, puisqu’en ces jours de panique chacun note une impression à propos de la glycérine