spirales apportant, sans doute, à l’enfant endormie, l’éternel repos dans une dernière joie.
Les murs de la chambrette étaient tendus de blanc. Des fleurs jonchaient les meubles…
C’était poétique, c’était gentil, c’était séduisant.
La Mort n’était plus la camarde avec sa faulx ; l’œuvre de l’Intransigeant la rendait enjôleuse.
Cette façon de dire bonsoir à la compagnie n’était peut-être pas très vraie, si l’on se reporte au misérable suicide auquel faisait allusion le journal. Elle était en tout cas bien trouvée.
L’artiste qui s’exerce dans le supplément a bien le droit d’être créateur. Avec un talent inqualifiable, le dessinateur avait donné, cette fois, la recette, la formule et le décor du plus joliet des suicides.
Qu’importe, si ce n’était pas la scène qui avait eu lieu ?
C’était la scène à faire.