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Page:Zola - La Débâcle.djvu/378

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derniers dans Sedan. Six heures sonnaient. Depuis près d’une heure déjà, la canonnade avait cessé. Peu à peu, les coups de fusil isolés eux-mêmes se turent. Alors, du vacarme assourdissant, de l’exécrable tonnerre qui grondait depuis le lever du soleil, rien ne demeura, qu’un néant de mort. La nuit venait, tombait à un lugubre, un effrayant silence.