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Page:Zola - Madeleine Férat, 1869.djvu/322

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Immobile, rigide, semblable au destin, elle fouilla du regard cette grande salle sinistre, aux exhalaisons fétides, aux coins pleins d’ordures, dont une seule bougie éclairait à peine les ténèbres. Quand elle eut distingué le cadavre aplati à terre, comme piétiné par ce fou qui riait et dansait diaboliquement dans l’ombre vague, elle redressa sa haute taille, elle dit de sa voix sèche :

— Dieu le Père n’a pas pardonné !