Page:Zola - Nouveaux contes à Ninon, 1893.djvu/176

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ombre chaude du Midi, parfumée de sauge et de lavande.

Je lui dois mes premiers chagrins et mes premières joies. Aujourd’hui encore, dans la passion d’analyse exacte qui m’a pris, lorsqu’il me monte au visage de soudaines bouffées de jeunesse, je songe à ce désespéré, je le remercie de m’avoir enseigné à pleurer.