Page:Zoloé et ses deux acolythes, 1800.djvu/141

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À quoi on ne s’attend pas.


On avait fait de longues excursions, le soir longue veille, et la nuit longue séance de volupté : ces dames n’étaient pas visibles à midi. Les trois adorateurs en attendant leur lever s’étaient réunis, et pour tromper leur impatience, s’étaient acheminés vers le bois. Insensiblement, la conversation s’anima, se prolongea, le sujet en était riche, intéressant. Le voici mot pour mot :

Zoloé est charmante, dit le prince italien. Si on pouvait lui faire un reproche, ce serait d’outrer le luxe et l’appareil ; et encore pourrait-on l’ex-