Page:Zoloé et ses deux acolythes, 1800.djvu/144

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nous en délivrer. — L’espagnol. Que dites-vous, Forbess ? C’est affreux, non, le peuple anglais est trop généreux pour desirer l’emploi de moyens aussi lâches. — Forbess. Ne vous ai-je pas nommé Pitt ? — L’italien. Pitt échouera dans ses complots. Le génie de la France, et sa sagesse le protégent. Mais si vous ne devinez pas le but du mariage en question, le voici : Tous les partis en France se croisent, se choquent, aucun point de ralliement. Celui qu’on appèle aristocrate abhorre la domination des hommes qui sont couverts de crimes et de sang. Le forcéné démagogue est irrité de voir qu’on ose l’emmuseler, et que les prépondérans l’abandonnent à son ignominie. Les peureux, les indifférens, qui forment le plus grand nombre invoquent un seul maître qui joigne le