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Conclusion.


Le dixième jour devait éclairer la célébration solemnelle du mariage de Zoloé avec d’Orsec. À peine ce tems suffisait-il aux préparatifs de toute espèce, auxquels il lui fallait présider. Forbess avait tenté inutilement à renouer avec Volsange ; elle était restée inexorable. Le goût de Lauréda pour Fernance était devenu une passion impétueuse ; elle ne pouvait se priver du plaisir de le voir et de l’entendre.

Cependant Fessinot se reposait sur la fidélité de sa digne épouse ; mais il est par-tout de ces génies malveillans ou jaloux qui se plaisent à semer la division et les haines. Averti par un