Page:Zoloé et ses deux acolythes, 1800.djvu/21

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c’est cette production éphémère d’un auteur affamé qui a dérangé la paisible circulation de ton sang ! en vérité, tu me ferais pitié, si je n’avais envie de rire. Eh ! bravons les sots caquets des prudes, les sarcasmes des dévots, les satyres des jaloux et les petites trahisons des papillons musqués ; voltigeons de plaisirs en plaisirs, sans nous arrêter jamais.

Ô ciel ! en regardant sa montre, il est deux heures ; et la marquise n’arrive pas ! Adieu donc, de la gaîté, ma reine. En ouvrant la porte, Volsange