pliquerais un joli rapport sur les épaules ;
et étendant la main comme pour
en frapper : citoyen, s’écrie Fessinot,
je suis représentant du peuple, respectez-moi,
et en même tems il exhibe
la précieuse médaille de son inviolabilité.
Voyons donc, ajoute Parmesan,
Oui-dà ! citoyen Fessinot ! salut au
citoyen Fessinot ! (Ironiquement.)
Excusez mon ignorance. Peut-on savoir,
citoyen représentant, ce qui vous
amène, ce que vous êtes, ici ? représentez-vous,
êtes-vous le maître du
logis ? ni l’un ni l’autre, ce me semble.
Hem ! vous ne répondez rien ! il
est vrai qu’on ne voit ici que magnificence
et enchantement. Est-ce que cela
serait pris sur les indemnités des sénateurs ?
Hé bien, mon camarade, vous
retournerez au sac, il n’est jamais vide
pour vous autres. — Citoyen, je vous
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