Page:Zweig - Émile Verhaeren, sa vie, son œuvre.djvu/165

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la tempête qui s’élève de la foule s’est changée ici en toute plastique et en toute harmonie. Avec elle, le poète atteint l’identité suprême et l’on peut, fièrement, lui appliquer son propre chant : « Il est la foule ! »