Pensées et Fragments inédits de Montesquieu/Notes (I)

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Pensées et Fragments inédits de Montesquieu, Texte établi par Le baron Gaston de Montesquieu, Imprimerie de G. GounouilhouI (p. 509-538).




NOTES





Page 3, ligne 7. — Cet article a été écrit par Montesquieu, au haut de la page 2 du tome Ier des Pensées, lorsqu’il y avait consigné déjà une réflexion sur la dévotion et le commencement de ses conseils à son fils.

Page 7, lignes 4 à 7. — A la place de ces deux alinéas, Montesquieu avait mis d’abord : « Il faut que je rende grâces à mon bon génie de ce que je suis né très heureux. »

Page 8, lignes 1 à 3. — Avant cet alinéa, Montesquieu en avait écrit d’abord un qu’il a très soigneusement rayé : « Je suis bien aise d’obtenir l’estime publique ; mais je sens qu’à certains égards je me consolerais de sa perte. »

Page 9, lignes 6 à 9. — Cet alinéa est écrit dans la marge et d’une encre différente.

Page 13, lignes 9 à 18. — Ce passage est à rapprocher de ce que Montesquieu dit, dans ses Voyages, sur la cour de l’empereur Charles VI (Voyages, tome Ier, page 3).

Page 13, lignes 18 à 23.— Ce passage est à rapprocher de ce que Montesquieu dit, dans ses Voyages, sur l’entrevue qu’il eut avec Victor-Amédée II (Voyages, tome Ier, pages 109 et 110).

Page 13, lignes 23 et 24. — Il s’agit ici de la reine Caroline, fille de Jean-Frédéric, margrave de Brandebourg-Anspach (1683-1737), qui avait épousé Georges II, roi d’Angleterre, en 1705.

Page 13, ligne 29. — A partir des mots Quelque temps, la fin de l’article a été ajoutée après coup.

Page 13, ligne 30. — Il s’agit ici de Charles Lennox, 2e duc de Richmond, petit-fils du roi Charles II et de la duchesse de Portsmouth (1701-1750).

Page 15, ligne 14. — Cet article, bien qu’il ne soit qu’une seconde rédaction du précédent, est criblé de corrections dans le manuscrit. On le retrouve à peu près tel quel (sauf le changement du temps des verbes) dans l’Histoire véritable (page 80 des Mélanges inédits de Montesquieu).

Notre auteur a donc au moins retouché son conte à une époque postérieure à celle où il inséra dans le tome Ier des Pensées l’article que nous annotons ici.

Page 20, ligne 7.— Virgile, Bucoliques, liv. I, v. 11.

Page 21, ligne 2.— Cet Ésope à la Cour est une comédie d’Edme Boursault, qui la fit représenter en 17o1, pour la première fois.

Page 21, ligne 10.— Par M. le Duc, il faut entendre LouisHenri de Condé, duc de Bourbon (1692-1740), qui fut premier ministre de Louis XV.

Page 22, lignes 1 et 2. — Le mot des Grecs est rapporté par Plutarque, Apophthegmes divers de Lacèdémoniens, n° S7.

Page 22, ligne 11.— Cet article est à rapprocher de la page 17o du tome Ier des Voyages de Montesquieu.

Page 22, ligne 20. — Cet article est à rapprocher des pages 203, 142 à 244 et 271 du tome I" des Voyages de Montesquieu.

Page 23, ligne 6. — C’est à Georges II (1683- 176o), qui était roi d’Angleterre depuis 1727, que s’adressa Montesquieu.

Page 23, ligne 7. — Peut.être faudrait-il lire etr., au lieu de m.

Page 23, ligne 11. — C’est encore à la reine Caroline que cette allocution est adressée.

Page 24, lignes 12 à 14.— Cet alinéa a été ajouté après coup.

Page 24, ligne 19. — Il s’agit ici du maréchal de Belle-Isle, qui fut ambassadeur et ministre de Louis XV.

Page 24, ligne 25. — Montesquieu songea à élever une pyramide à l’occasion du long procès qu’il soutint contre la ville de Bordeaux. Il s’agissait de fixer les limites respectives de la seigneurie de Martillac et du comté d’Ornon, qui appartenait à la Ville. Seigneur de Martillac, le Président obtint gain de cause, par arrêt du Parlement de Paris, du 28 août 1743.

Page 26, lignes 10 et 11. — Il s’agit ici de William Pulteney, comte de Bath (1684-1764), qui fut le redoutable adversaire de Robert Walpole.

Page 26, ligne 11. — Il s’agit ici d’Anne-Charlotte de Crussol, épouse d’Armand-Louis, duc d’Aiguillon.

Page 27, ligne 6. — Le fils de Montesquieu, Jean-Baptiste de Secondat, naquit en 1716 et mourut en 1796.

Page 27, lignes 9 à n. — Cet alinéa est écrit dans la marge et d’une encre différente.

Page 27, ligne 17. — Montesquieu avait mis d’abord: « Il est permis à chaque citoyen de monter... »

Page 27, ligne 22. — Après les mots dirige bien, Montesquieu avait mis une phrase qu’il biffa: « C’est un grand ouvrier que celui qui a fait notre être, et qui a donné à nos âmes de certaines tendances et de certains penchants. »

Page 28, ligne 1. — Montesquieu avait mis d’abord : t ... par une certaine tendance à sortir du lieu où l’on est placé. »

Page 28, ligne 27. — Montesquieu parle, sans doute, ici de sa fille cadette : Marie-Josèphe-Denise de Secondat, qui naquit en 1727, épousa, en 1745, son cousin Godefroy de Secondat, et mourut en 1800.

Page 29, ligne 1. — Le petit-fils auquel Montesquieu adressa ces conseils est, sans doute, le fils de son fils : Charles-Louis de Secondat, qui naquit en 1749 et mourut en 1824, plutôt que le fils de sa fille Denise : Joseph-Cyrille de Secondat, qui naquit en 1748 et mourut en 1826.

Page 3o, ligne 20. — Le manuscrit donne Peline, au lieu de Pline.

Page 3o, ligne 22. — Le manuscrit donne Friend, au lieu de Freind. Jean Freind (1675-1728) est l’auteur d’un livre anglais sur l’Histoire de la Médecine depuis le Temps de Galien (Londres, 1725-1726). Montesquieu la cite ailleurs, dans ses Pensées (tome II, folio 66 v°), en estropiant encore le nom de Freind.

Page 32, lignes 12 et 13.— Dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page 56o), on lit: « Saavedra (Faxardo), Corona Gothica, Çastellana y Austriciaca, Munster, an. 1646, 4°). »

Page 32, ligne 19. — C’est, sans doute, de Reinerus Reinecdus (mort en i5g5) qu’il s’agit ici.

Page 33, ligne 17. — Il s’agit ici d’Antoine Houdar de La Motte, célèbre par la part qu’il prit, en 1714, à la querelle des Anciens et des Modernes.

Page 34, ligne 17.— C’est évidemment d’Antoine Arnauld, le grand adversaire des Jésuites, que Montesquieu parle ici.

Page 34, ligne 26. — Le Temple de Gnide est imprimé dans le tome II, page 1, des Œuvres complètes de Montesquieu publiées par M. Éd. Laboulaye, dont nous citerons toujours l’édition dans ces notes.

Page 35, ligne 18. — Le Dialogue de Sylla et d’Eucrate est imprimé dans le tome II, page 327, des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 35, lignes 22 à 28. — Il s’agit, sans doute, ici des Considérations sur la Grandeur des Romains.

Page 35, ligne 26.— Par Mercure, il faut entendre le Mercure de France, la plus ancienne des gazettes de notre pays.

Page 35, lignes 26 à 28. — A partir des mots et les relations, la fin de l’article est écrite de la main de Montesquieu.

Page 35, ligne 28.— Horace, Satires, liv. I, Vin, v. 10.

Page 36, lignes 5 à 8. — Cet article est très soigneusement rayé dans le manuscrit, mais nous révèle un double et bien curieux sentiment de Montesquieu.

Page 36, ligne 24. — Virgile, Énéide, liv. X, v. 83.

Page 37, ligne 2. — Claude Dupin (17oo-1769) est l’auteur de Réflexions sur quelques Parties d’un Livre intitulé: « De l’Esprit des Lois ». Montesquieu n’a pu connaître que la première édition de cet ouvrage, imprimée en 1749, à huit exemplaires seulement. La seconde, d’où l’auteur fit disparaître les violences, ne parut qu’en 1757.

Page 37, lignes 6 et 7. — L’abbé Joseph de Laporte (17131779) est l’auteur d’Observations sur Vt Esprit des Lois», qui parurent en 175o.

Page 37, lignes 17 et 18. — Les Anciens attribuaient au laurier la propriété de préserver de la foudre.

Page 38, ligne 21.— Il s’agit ici de Bernardin Ramazzini (1633-1714), qui écrivit, entre autres ouvrages, deux traités: son De Morbis Artificum, d’abord, et son De admiranda Fontium Mutinentium Scaturigine, dont il est question ci-dessus, page 463, note I.

Page 38, ligne 25. — Antoine de Solis (1610-1686) est l’auteur d’un livre espagnol sur l’Histoire de la Conquête du Mexique (Madrid, 1684).

Page 38, ligne 26. — On trouvera ci-dessus (pages 389 et 399) des réflexions de Montesquieu sur la conduite des Espagnols au Mexique et au Pérou.

Page 39, ligne 1.— On trouvera ci-dessus (page 27o) la préface de l’Histoire de Louis XIV dont il est ici question.

Page 43, ligne 4. — Filicaia, Sonnet « AWItalia », v. 14.

Page 43, lignes 6 et 7.— Catulle, Lxviii, v. 17 et 18. Le vers 18 est cité exactement; mais le vers 17 devrait être ainsi conçu:

... Non est Dea nescia nostri.

Page 43, ligne 9. — Claudien, In Rufinum, liv. I, v. 23.

Page 43, ligne 11. — Cicéron(Z)es Lois, liv. II, chap. IV) dit: « ... lex ver a... ratio est recta summi Jovis. »

Page 44, ligne 1. — Les Lettres Persanes sont imprimées dans le tome I»r des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 45, ligne 10. — Cette Préface de VÉditeur est devenue (non sans quelques changements) le morceau qui fut publié, pour la première fois, dans le Supplément de l’édition des Lettres Persanes parue (soi-disant) « à Cologne, chez Pierre Marteau », en 1754. Il y a pour titre : Quelques Réflexions sur les Lettres Persanes. Depuis, on l’a imprimé en tête de presque toutes les éditions de l’ouvrage.

Page 45, lignes 29 et 3o. — Il s’agit ici du roman de Paméla publié, en 1741, par S. Richardson, et des Lettres Péruviennes publiées, en 1747, par Mme de Graffigny.

Page 47, lignes 18 à 29. — Cette fin d’alinéa, que l’auteur a écrite lui-même dans le tome III des Pensées (folios 322 v° et 323 r°), en remplace une autre qui est biffée dans le manuscrit, et qui était ainsi conçue: « Que si ces raisons n’excusent point l’Auteur, il aura, du moins, la consolation de penser que ceux qui viendront après lui apprendront, par son exemple, que les moindres fautes en ce genre sont irréparables. >

Page 47, ligne 29. — Les mots sont aperçues étaient, d’abord, suivis d’une phrase que l’auteur a biffée: « J’avouerai même que j’aurois aussi bien fait de faire un moins bon livre que de toucher ces matières, puisqu’on n’est jamais si sûr de la manière dont les autres sont affectés que de celle dont on est affecté soimême. »

Page 48, lignes 8 et 9. — Montesquieu, avant d’adopter la rédaction actuelle de ces deux lignes, en avait essayé d’autres: i° « que cet ouvrage fut abandonné par son auteur dès sa naissance » ou t dès sa naissance par l’Auteur, qui n’y prit plus de part que par le repentir de l’avoir fait; » — 20 « fut abandonné par son auteur, qui s’attacha à des choses plus sérieuses; » — 3° < fut abandonné par son auteur, qui avait écrit dans un temps où il étoit assez jeune, et avoit publié son ouvrage dans un temps où tout le monde étoit jeune. » — Ces variantes sont écrites de la main de Montesquieu dans le tome III des Pensées, folios 322 v° et 323 r°.

Page 49, lignes 10 à 12.— Il s’agit ici de l’arrêt du Conseil du 21 mai 1720.

Page 49, ligne 29.— L’arrêt du 21 mai 1720 fut cassé par un autre arrêt, du 27 mai suivant.

Page 51, ligne 18.— Ici commence la suite de l’histoire des Troglodytes, qui fait le sujet des 11’, 12e, i3’ et 14e Lettres Persanes.

Page 61, ligne 23.— Le Dialogue de Kantippe et de Xénocrate a été imprimé pour la première fois dans les Mélanges inédits de Montesquieu, page 97.

Page 62, ligne 1. — Montesquieu avait, d’abord, donné le nom de Gylippe à l’interlocuteur de Xantippe.

Page 62, ligne 18. — Le traité De la Considération et de la Réputation a été imprimé, pour la première fois, à la page 47 du volume qui a pour titre : Deux Opuscules de Montesquieu, publiés par le baron de Montesquieu (Bordeaux, G. Gounouilbou, 1801), un volume in-40 de 86 pages.

Page 63, ligne i3. — La lettre unique qui suit est la première version des Lettres de Xénocrate à Phérès. Celles-ci ont été imprimées, pour la première fois, dans les Mélanges inédits de Montesquieu, page 191. Le Régent y est désigné sous le nom d’Alcamène, et non plus sous celui de Pisistrate.

Page 63, note 1. — De cette note, on peut induire que Montesquieu songea à publier les Lettres de Xénocrate dans le recueil fictif qu’il voulait intituler: Bibliothèque Espagnole.

Page 64, ligne 3.— Montesquieu avait écrit, d’abord, au commencement de cet alinéa, une phrase qu’il a biffée: « I1 n’accorde à la vertu que ce qu’il cède à l’importunité des gens vicieux. »

Page 65, ligne 8. — Après les mots le Peuple, l’Auteur avait écrit d’abord: t qui pense avec tant de lenteur. »

Page 65, lignes 28 à 3o. — Il s’agit ici de M11» de Séry, comtesse d’Argenton, morte en 1748.

Page 66, lignes i5 à 24.— Il s’agit ici du cardinal Dubois (1656-1723).

Page 67, ligne n. — Il s’agit ici du siège de Turin, en 17o6.

Page 68, ligne 2. — Montesquieu avait écrit d’abord: t retour sur lui-même >, au lieu de faiblesse d’âme.

Page 68, lignes 12 et i3. — Le Discours de Réception à VAcadémie française est imprimé dans le tome VII, page 91, des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 68, lignes 17 et 18. — Le grand homme dont il s’agit ici est Louis de Sacy (1654-1727), traducteur de Pline le Jeune, et auteur d’un Traité de l’Amitié, auquel Montesquieu semble faire allusion plus loin.

Page 69, ligne 11. — A la suite de l’alinéa qui finit ici, le copiste en a transcrit trois autres que Montesquieu biffa ou fit biffer, en écrivant en marge: « Tout cela est mis, excepté ce mot: qu’il fût son propre déserteur. » Il y a, cependant, des nuances entre le texte connu et le texte des Pensées (manuscrites). Aussi allons-nous reproduire ici les alinéas biffés, en imprimant les variantes en caractères italiques:

« Il croyoit qu’ayant écrit sur la morale, il seroit inexcusable s’il abandonnait ses propres maximes; qu’il devoit être plus difficile qu’un autre sur ses devoirs; qu’il n’y avoit point pour lui de dispense, parce qu’il avoit donné les règles; qu’il seroit ridicule qu’il n’eût pas la force de faire des choses dont il avoit cru tous les hommes capables; qu’il fût son propre déserteur; et que, dans chaque action, il eût, en même temps, à rougir de ce qu’il auroit fait, et de ce qu’il auroit dit...

» Qu’un homme pareil remplissait bien les vues de l’Académie : car vous voulez que la vertu accompagne toujours ceux qui vont à la gloire, et le plus beau génie seroit indigne de vous, s’il n’était qu’un beau génie. Quelques talents qu’il eût, vous croiriez que la Nature ne lui auroit fait qu’un présent triste, uniquement propre à donner de la force ou un plus grand jour à ses vices.

» Vos fondateurs..., ils ont voulu aller à la postérité; mais ils ont voulu y aller avec vous, tout couverts de vos lauriers et des leurs. »

Page 69, ligne 18.— Pierre Séguier (1588-1672), chancelier de France et protecteur de l’Académie française.

Page 74, lignes 14 et i5.— Les Réflexions sur les Habitants de Rome ont été imprimées, pour la première fois, dans les Voyages de Montesquieu, tome II, page 377.

Page 75, lignes 1 et 2. — Les Considérations sur la Grandeur des Romains sont imprimées dans le tome II, page 101, des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 78, ligne i5. — A la suite de l’article qui se termine ici est transcrit et biffé un fragment qu’on retrouve à la page 48o du tome Ier des Pensées (manuscrites), et que nous imprimons plus loin, sous le n° 147.

Page 79, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. XIX, chap. m.

Page 8o, note 1. — Nous n’avons pas su trouver le passage de l’Esprit des Lois auquel renvoie cette note.

Page 82, lignes 8 à 11. — Nous ne reproduisons pas les passages des Considérations que Montesquieu a retranchés du texte primitif, dans l’édition de 1748; mais seulement les articles qu’il avait songé, d’abord, à y ajouter, ainsi qu’une note sur « le censeur de l’édition Paris ».

Page 82, note 2. — Végèce, Art militaire, liv. III, chap. III.

Page 83, lignes 23 à 25.— Montesquieu fait sans doute ici allusion à la lettre qu’il cite dans les chapitres IX et x des Considérations, et qui est la i86 du livre IV des Lettres de Cicéron à Atticus. .

Page 84, ligne 12. — Après les mots de Sylla, il y a, dans le manuscrit, neuf mots biffés : < Il répandit les huit tribus des peuples d’Italie...»

Page 84, note t. — Appien, Guerre civile, liv. I, chap. LV-LX.

Page 86, ligne 21. — ’Euttoçt, Abrégé de PHistoire Romaine, liv. I, chap. vu.

Page 87, lignes 21 et 22. — Denys d’Halicamasse, Antiquités Romaines, liv. II, chap. Lxxiv, et liv. VI, chap. Lxxxix. Montesquieu renvoie à l’édition de Sylburg (Francfort, i586). Seulement il intervertit ici les chiffres des renvois.

Page 88, ligne 7. — Strabon, Géographie, liv. XIV, chap. v.

Page 88, ligne i5. — Marcellin, qui vécut vers 5oo après J.-C, commenta la Rhétorique d’Hermogène, contemporain de MarcAurèle.

Page 88, ligne 20. — L’empereur Constantin VII Porphyrogénète (9o4-959) fit compiler de nombreux extraits d’auteurs grecs. Ces extraits furent, ensuite, répartis en 53 sections, par ordre de matières. Deux de ces sections nous sont parvenues, notamment la 5o% qui traite des vertus et des vices, et qui est visée dans ce passage.

Page 88, note 2. — Michaël d’Éphèse écrivit, au XIe siècle, un commentaire de l’Éthique et peut-être d’autres ouvrages d’Aristote.

Page 89, lignes n à 19. — Nous avons corrigé quelques inexactitudes que le secrétaire de Montesquieu a commises en transcrivant ce passage du Syncelle.

Page 89, note 2. — Il n’y a, dans les Codes de Théodose et de Justinien, aucun titre ayant pour rubrique : De Auri et Argenti Fodinis; mais il y est souvent question des mines.

Page 92, ligne 4.— Aulu-Gelle, Nuits Attiques, liv. XXIV, chap. xvm.

Page 92, ligne 21.— Justin, Histoire, liv. VIII, chap. v. Page 92, lignes 22 et 23.— Tite-Live, Histoire Romaine, liv. XL, chap. m. Page 9.2, note 1. — Zosime, Histoire Romaine, liv. II, chap.

XXII.

Page 92, note 2.— Tacite, Annales, liv. II, chap. XXXV. Page 93, note 1. — Zosime, liv. I, chap. Lxviii.

Page 94, lignes 18 et 19.— L’Essai sur les Causes... a été imprimé, pour la première fois dans les Mélanges inédits de Montesquieu, page 107.

Page 94, lignes 20 et 21. — Ce titre a été ajouté par Montesquieu lui-même dans le manuscrit, au-dessus de l’article suivant.

Page 94, note 1. — Zosime, liv. I, chap. LXXI.

Page 95, ligne 2. — Les mots c’est Huarte ont été ajoutés par Montesquieu lui-même. Jean Huarte (1320-1600 ?) est l’auteur d’un livre espagnol : Examen des Esprits... (Pampelune, 1578). Montesquieu en possédait la traduction française publiée à Lyon, en 1668: car elle est mentionnée à la page 260 du catalogue de la Bibliothèque de La Brède.

Page 98, ligne 14. — L’Esprit des Lois est imprimé dans les tomes III à VI. des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 98, lignes 20 et 21. — Nous avons imprimé les nombreux fragments qui suivent, non point dans l’ordre du manuscrit, mais en nous conformant au plan général de l’Esprit des Lois.

Page 99, ligne 2. — C’est à Frédéric, prince de Galles (17o71751), fils de Georges II et père de Georges III, rois d’Angleterre, que Montesquieu avait songé à dédier son ouvrage.

Page 99, lignes 23 et 24. — Montesquieu rend ici grâces à Hugo Grotius (1583-1646), auteur du De Jure Belli et Pacis, et à Samuel Pufendorf (1632-1694), auteur du De Jure Naturœ et Gentium.

Page 101, lignes 20 à 24. — C’est dans la Vie de Solon, chap. III, et dans la Vie de Thémistocle, chap. 11, que Plutarque fait la remarque dont il est ici question.

Page io5, lignes 11 et 12.— Horace, Odes, liv. III, I, v. 5 et 6.

Page io5, ligne 14. — Dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède, cette citation est inscrite en tête des livres sur l’histoire des Toscans et attribuée à Flor[us].

Page io5, ligne 16. — Tacite, Agricola, chap. iv.

Page io5, ligne 19. — Horace, Art poétique, v. 187.

Page io5, ligne 21. — Horace commence le vers 73 de la m0 Satire du livre II par ces mots: « Fiet aper... »

Page io5, ligne 22. — Horace finit le vers 63 de la 11e Épître du livre Ier par ces mots : « ... hune tu compesce catena. »

Page io5, note 2. — Platon, République, liv. IX, chap. XIII.

Page 106, ligne 17. — Cragius ou Nicolas Craig (1549-16o2) est l’auteur d’un ouvrage latin, en quatre livres, sur la République des Lacédémoniens, publié à Genève, en 1593.

Page 106, lignes 23 et 24. — Aristote, Politique, liv. VI, chap. v.

Page 106, note 1.—Jean-Vincent Gravina (1664-1718) est l’auteur d’un ouvrage latin sur les Origines du Droit civil, publié de 17o1 à 1713, ouvrage que Montesquieu cite, à plusieurs reprises, dans l’Esprit des Lois.

Page 107, ligne 1. — Plutarque, Vie d’Aratus, chap. II.

Page 107, lignes 20 et 21. — Jean Bodin (1520-1596) est l’auteur d’un traité en six livres, intitulé : De la République, et publié à Lyon, en 1579. C’est dans le livre III (page 25o) qu’il fait la remarque dont il est ici question.

Page 110, lignes 2 à 4. — Digeste, liv. I, tit. III, 1. 3i.

Page 110, lignes 5 et 6. — Dion Cassius, Histoire Romaine, liv. LVI, chap. xxxn.

Page m, ligne 5. — Cet article semble être un projet de lettre persane supplémentaire.

Page m, ligne 6. — Au lieu de Mevis, il faut lire Mir-Oweîs, chef afghan qui détrôna, en 1722, le sophi Hussein, soumit toute la Perse, et fut mis à mort, en 1727, par ordre de son cousin et compétiteur Mir- Abdallah.

Page 112, ligne 20. — Laurent Angliviel de La Beaumelle (1726-1773), éditeur des Lettres de Mme de Maintenon, fut professeur de littérature française à Copenhague, en 1751.

Page 112, ligne 23. — La Loi royale de Danemark fut signée par Frédéric III, le 14 novembre i665, c’est-à-dire cinq ans après le coup d’État qui avait attribué à ce prince et à sa famille, une souveraineté absolue et héréditaire.

Page 112, note 1. —L’observation est de Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, liv. I, chap. LXX.

Page 115, note 1, ligne 3.— Au lieu d’Euripide, il faut lire Eurycratidas, dont Plutarque parle, en effet, dans les Apophthegmes de Lacêdémoniens.

Page 117, lignes 14 et i5. — Les Timariots étaient, chez les Turcs, les possesseurs d’une sorte de fiefs, de bénéfices militaires.

Page 118, note 1. — Denys d’Halicamasse, liv. X, chap. LX.

Page 119, ligne 3. — Au moyen des lettres de répit, les débiteurs obtenaient un délai pour payer leurs dettes.

Page 120, lignes 18 et 19.— Diodore de Sicile, liv. I, chap.IX.

Page 120, ligne 23. — Diodore de Sicile, liv. I, chap. Lxv. Page 120, note 1, ligne 2.— Sigonius ou Charles Sigonio (1520-1584) est l’auteur d’un traité qui a pour titre: De Judiciis Romanorum Libri III, et qui fut publié à Venise, en 1574.

Page 122, lignes 9 à 11. — La citation est tirée de Gravina, Origines du Droit, liv. III, chap. LXXXVI.

Page 122, ligne 16. — Au lieu de liv. Ier, chap. Xxviii, il faut lire, liv. X, chap. xxin.

Page 123, ligne 7.— Platon, Lois, liv. IX, chap. XII.

Page 123, note 1. — Plutarque, Vie (TAgésilas, chap. xxx.

Page 124, ligne 6. — Aristote, Politique, liv. II, chap. ix.

Page 124, note 1. — Plutarque, Vie d’Agis, chap. v.

Page 125, note 1.— Appien, Guerres Puniques, chap. LIV.

Page 128, note 1. — Jean-Baptiste Du Halde,, Jésuite (16741743), est l’auteur d’une Description de la Chine, en 4 vol. in-fol., publiée à Paris, en 1735.

Page 129, ligne 18. — Le Meng-Tsée est le quatrième livre classique des Chinois. Il fut rédigé par le philosophe Meng-Tseu, vers l’an 3oo av. J.-C. C’est au livre II, chap. VI, art. 7, que se trouve le passage dont il est ici question.

Page 133, note 2. — Strabon, liv. X, chap. IV.

Page 134, note 1. — Tacite, Histoires, liv. I, chap. IX.

Page 134, note 2. — Tacite, Histoires, liv. I, chap. IX.

Page 134, note 3. — L’ouvrage cité est, sans doute, l’Introduction à l’Histoire des principaux Royaumes et États dans l’Europe, ouvrage dont une traduction française parut à Leyde, en 1710, et qui figure dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page 446).

Page 135, lignes 12 et i3. — Xénophon, Cyropédie, liv. VI, chap. I.

Page i36, ligne 27. — Jean-Baptiste Dubos (167o-1742) est l’auteur de cette Histoire critique de l’Établissement de la Monarchie française dans les Gaules, qui fut publiée à Paris, en 1734, et dont Montesquieu combattit très vivement les théories.

Page i36, note 1. — Tite-Live, liv. V, chap. xxn et xxin.

Page 136, note 2. — Tite-Live, liv. V, chap. XXX.

Page 137, lignes 7 et 8. — Xénophon, Économique, chap. IV.

Page 137, ligne 12. — Diodore de Sicile, liv. I, chap. Lxxiii.

Page 137, ligne 3i. — Tacite, Germanie, chap. vu.

Page 138, ligne 28. — Le passage de Sidoine Apollinaire que vise Montesquieu paraît être celui qui commence, dans le Carmen VII, au vers 310.

Page 139,note 1.— Cicéron,Z)«/’/rtVf«<ton,liv.II,chap.XLix.

Page 140, lignes 5 à 7. — Ammien-Marcellin (Histoire, liv. XXVI, chap. VII, § 11) dit des agents de Procope, qui se fit proclamer Empereur en 365: laureos scilicet nummos effi- giatos in vultum novi principis aliaque ad illecebras optantes. »

Page 141, lignes 20 et 2i. — César (Guerre civile, com. I,

chap. V) dit: « et de tribunis Plebis gravissime decer-

nitur. »

Page 142, lignes 17 et 18. — Montesquieu adapte ici à son idée deux vers de Racine (Phèdre, acte IV, scène VI).

Page 142, ligne 20. — Machiavel, Discours sur Tite-Live, liv. I, chap. Lv.

Page 142, note 1. — César, Guerre civile, com. III, chap.

XXXII.

Page 143, note 2. — Jean Chardin (1643-1713) est l’auteur de Voyages en Perse, etc., livre dont Montesquieu possédait deux éditions : celle de Lyon (1687, 2 vol. in-12) et celle d’Amsterdam (1711, 10 vol. in-12). L’observation qu’il a faite sur les gouver- neurs se trouve dans la Description du Gouvernement... des Persans, chap. III. Voyez la page 48 du tome VI des Voyages de M. le Chevalier de Chardin (Rouen, Ch. Ferrand, 1723).

Page 143, note 3.— Amédée- François Frézier (1682-1773) est l’auteur d’une Relation d’un Voyage de la Mer du Sud aux Côtes du Chili, etc., publiée à Paris, en 1716, et à Amsterdam, en 1717. Dans l’édition d’Amsterdam, l’observation que Montes- quieu utilise se trouve à la page 382 (tome II). Elle fait partie de la Description de la Ville de Lima.

Page 144, ligne 29. — Ammien-Marcellin, liv. XVII, chap. m.

Page 145, ligne 7. — Ammien-Marcellin, liv. XVI, chap. V.

Page 145, ligne 20. — Au lieu de livre III, il faut, sans doute, lire ici livre II: car Diodore ne parle pas des lois des Indiens dans le livre III de sa Bibliothèque.

Page 145, ligne 25.— Diodore de Sicile, liv. II, chap. xxxix et suiv.

Page 145, lignes 27 à 3o. — Montesquieu vise, dans ce passage, la critique de l’Esprit des Lois, publiée par l’abbé de La Roche, dans le numéro du 9 octobre 1749 des Nouvelles ecclésiastiques, organe des Jansénistes.

Page 148, note 1. — La réflexion se trouve dans Diodore de Sicile (liv. I, chap. Lxxvii); mais elle a été vivifiée par le tour que Montesquieu lui a donné.

Page i5o, 1 à 8.— Ce n’est pas à Plutarque (comme le semble- rait indiquer la note), mais à Valère Maxime (Faits et Paroles mémorables, liv. II, chap. I, § 4, et liv. VI, chap. m, §§ 10 et 12), que Montesquieu emprunte les faits qu’il rapproche ici.

Page 15o, lignes 9 à 11. — Montesquieu vise ici un fragment où Nicolas de Damas raconte l’histoire de Parsondas. Voyez les Fragmenta Historicorum Grœcorum, tome III (Paris, F. Didot, 1849), frag. 10.

Page I5i, note 1.— Montesquieu vise, à la fin de cette note, un article qui se trouve dans ses Pensées (manuscrites), tome III, folio 29 v°.

Page 153, ligne 4. — Ammien-Marcellin, liv. XXXI, chap. 11.

Page 155, ligne 17. — Le manuscrit donne Kemper, au lieu de Kœmpfer. Engelbert Keempfer (i65i -1716) est l’auteur d’une Histoire de l Empire du Japon, écrite en anglais et publiée à Londres, en 1727.

Page i55, lignes 21 et 22.— Constantin VII Porphyrogénète, Extraits des Ambassades, chap. prélim.

Page 156, note 2.— François Bemier (mort en 1688) est l’auteur de Voyages... contenant la Description des Etats du Grand Mogol. Ils furent publiés à Amsterdam, en 1710. Le passage visé par Montesquieu se trouve à la page 3j du tome II.

Page 171, lignes 2 et 4. — Les caps appelés par les Anciens Promontoire Prasum et Promontoire Rhaptum se trouvaient, l’un et l’autre, sur la côte orientale de l’Afrique: le premier, au 7 e et, le second, vers le 6« degré de latitude sud.

Page 171, ligne 4. — Hérodote, liv. IV, chap. Xlii.

Page 171, lignes i3 à 16. — L’opinion de Juba semble ressortir d’un passage de Pline l’Ancien {Histoire naturelle, liv. VI, chap. xxxiv, § 6).

Page 171, note 4. — Cerné était situé au sud du Maroc et au fond de la baie qui s’appelle aujourd’hui baie de Rio de Oro.

Page 172, ligne 3. — Pierre-Daniel Huet, évêque d’Avranches (163o-1721), est l’auteur d’une Histoire du Commerce et de la Navigation des Anciens, publiée à Lyon, en 1716.

Page 173, lignes 2 et 3.— Pierre Giannone (1676-1748) est l’auteur d’une Histoire civile du Royaume de Naples, publiée à Naples, en 1723.

Page 175, ligne 26. — Dion Cassius, liv. LXXVII, chap. xiv.

Page 175, note 1.— Il faut lire Savot, au lieu de Savote. Louis Savot est l’auteur d’un Discours sur les Médailles antiques publié à Paris, en 1627.

Page 176, note 2. — Diodore de Sicile, liv. II, chap. Lxxix.

Page 176, note 5. — Montesquieu vise ici deux passages des Lois de Platon : liv. II, chap. IV, et liv. VIII, chap. VI.

Page 177, ligne 1. — Plutarque, Vie de Dion, chap. m.

Page 177, ligne 2. — Par le vieux Denys, il faut entendre Denys l’Ancien, tyran de Syracuse (405-368 av. J.-C).

Page 177, ligne 10. — Zonaras, Annales, liv. VII, chap. xvm.

Page 177, ligne 17. — Tacite (Annales, liv. III, chap. xxvn) dit: « ... composites XII Tabulée, finis œqui juris. »

Page 177, ligne 22. — Tacite, Germanie, chap. XX.

Page 178, ligne 3. — Tacite, Germanie, chap. XX.

Page 179, ligne 24. — Élien, Histoires variées, liv. II, ch. vu.

Page 182, lignes 19 et 20. — Platon, Lois, liv. V, chap. x.

Page i85, ligne 5. —Jean Barbeyrac (1674-1744) a publié un Supplément au Corps universel diplomatique du Droit des Gens (Amsterdam et La Haye, 1739), qui est un recueil des traités des Anciens.

Page 188, ligne 14. — Horace, Epîtres, liv. I, x, v. 24.

Page 189, lignes 5 et 6. — Quintilien, Déclamations, CCLXXXlll (Cynicus diserti Filius).

Page 192, ligne 11.— Coringius ou Hermann Coring (16o61681) est l’auteur d’une foule de savantes dissertations, et entre autres d’un traité De Imperatore Romano • Germanico, que possédait Montesquieu.

Page 193, ligne 18. — Le morceau qui suit est comme une introduction au livre XXVII de l’Esprit des Lois.

Page 194, ligne i3.— Le morceau qui suit est comme une introduction au livre XXVIII de l’Esprit des Lois.

Page 195, ligne 18. — Jean Hardouin (1646-1729), « le plus paradoxal » des érudits de son temps, sinon « des hommes > (quoi qu’en dise son épitaphe), attribuait les Odes d’Horace à un bénédictin du Moyen-Age.

Page 196, ligne 16.— Ce vers de Néron sur le Tigre nous a été conservé dans une scolie d’un vers de Lucain (Pharsale, liv. III, v. 261). Il y est précédé de deux autres hexamètres. Voyez les Fragmenta Poetarum Romano rum d’É. Bœhrens (Leipsick, Teubner, 1886), page 368.

Page 196, ligne 17. — Les lois de Barbares dont les extraits vont suivre sont, en général, citées très exactement. Montesquieu s’est servi du grand recueil de Lindenbrog (Francfort, 1613). Nous indiquerons les renvois qu’il semble falloir rectifier.

Page 197, note 2, ligne 7. — Il faudrait Lxxviii, au lieu de Lxxih.

Page 201, note 2.— Il faudrait tit. 28, au lieu § 29.

Page 202, note 1. — Il faudrait tit., au lieu de §.

Page 203, note 2. — Montesquieu renvoie ici au titre x des éditions modernes.

Page 203, note 3. — Montesquieu renvoie ici au titre xvi des éditions modernes.

Page 208, note 1.— Il faudrait lire: « Agathias, Histoires, liv. II, chap. v. »

Page 211, lignes 18 à 20. — Lots des Lombards, liv. II, tit. Lv, § 11.

Page 212, ligne 10. — Jean du Tillet, le greffier (mort en 157o), est l’auteur du Recueil des Rangs des Grands de France (Paris, i58o), dont Montesquieu cite ici la page 452.

Page 214, note 1.— Il ne semble pas que Montesquieu ait donné suite au projet dont il parle ici.

Page 215, ligne 8. — La Défense de V « Esprit des Lois » est imprimée dans le tome VI (page 139) des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 216, ligne 4.— Virgile, Énéide, liv. X, v. 134.

Page 218, ligne 2. — Guillaume - François Berthier, Jésuite (17o4-1782), publia une critique de l’Esprit des Lois, dans le numéro d’avril 1749 du Journal de Trévoux, qu’il dirigeait.

Page 218, ligne 5.— Lysimaque est imprimé dans le tome II (page 343) des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 218, ligne 11. — Le fragment qui précède est transcrit une seconde fois en tête du morceau qui va suivre.

Page 219, ligne 1. — L’Essai sur le Goût est imprimé dans le tome VII (page 113) des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 220, lignes 14 et iS.— Les mots et même le vrai nom de la Ville ont été ajoutés par Montesquieu.

Page 221, ligne 17.— Pline le Jeune, dans une Lettre à Maxime (liv. VIII, let. 24), dit: « ... Cogita te missum in provinciam Achaiam... — Reverere conditores Deos... — Habe ante oculos... Athenas esse quas adeas... »

Page 223, note 1.— Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu.

Page 224, ligne 5. — Anne Lefèvre, femme d’André Dacier (1654-1720), défendit les Anciens, contre La Motte, dans son livre sur les Causes de la Corruption du Goût.

Page 225, ligne 3o, et page 226, ligne 1. — La première édition de la tragédie de Pompée fut publiée par P. Corneille, en 1644, sous le titre de La Mort de Pompée, titre que l’Auteur abrégea à partir de 1848.

Page 227, note 1. — Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu.

Page 229, ligne 10. — Corneille a donné le Cid en [ 636, et Rotrou, son Venceslas en 1647.

Page 231, ligne 7. — Le roman d’Arsace et Isménie est imprimé dans le tome II (page 379) des Œuvres complètes de Montesquieu.

Page 237, ligne 4. — Le sujet de cette tragédie était emprunté à Cléopâtre, roman que Gautier de La Calprenède publia, en 10 volumes in-8°, de 1647 à 1659.

Page 237, ligne 7. — Ce vers est précédé, dans le manuscrit, d’un autre, qui est biffé:

tje te quitte, dit-il; mais je serai fidèle.»

Page 246, ligne 6. — Après les mots je vais éviter, il y a, dans le manuscrit, plus de vingt lignes biffées et indéchiffrables.

Page 246, note 1. — La seconde partie de cette note est écrite d’une autre encre que la première.

Page 247, note 1.— Cette note est comme un renvoi au chapitre 11 du livre Ier de l’’Esprit des Lois.

Page a51, ligne 24. — Charles-Godefroy de La Tour, duc de Bouillon, vendit, en 1738,1a vicomté de Turenne au roi de France.

Page 253, ligne 7. — Les mots Le Petit de Launay ont été ajoutés par Montesquieu lui-même.

Page 253, ligne 10. — Virgile, Bucoliques, VIII, v. 78.

Page 254, ligne 14. — Tibulle, liv. I, v, v. 1.

Page 258, ligne 24 et 25.—Virgile, Énéide, liv. VIII, v. 362 et 363.

Page 259, ligne 1. — Il s’agit ici du roi Charles XII.

Page 259, lignes 2 et 3. — Horace, Odes, liv. I, m, v. 9 et 10.

Page 259, ligne 4. — Il s’agit ici du grand Condé.

Page 259, ligne 5. — Horace, Odes* liv. IV, IV, v. 1.

Page 259, ligne 7. — Horace, Odes, liv. III, v, v. 1.

Page 2 5g, lignes 9 à 12. — Montesquieu cite ici, en l’arrangeant, un passage de Velleius Paterculus, Histoire Romaine, liv. II, chap. Lui.

Page 259, ligne 14.— Horace, Odes, liv. I, in, v. 38.

Page 25q, lignes 16 à 18.— Horace, Odes, liv. I, m,v. 38 à 40.

Page 259, lignes 20 et 2i.— Virgile, Géorgiques, liv. II, v. 491 et 492.

Page 259, ligne 23. — Lucrèce, De la Nature des Choses, liv. I, v. 102.

Page 26o, ligne 1. — La plupart des citations qui suivent ont été écrites, par Montesquieu lui-même, en tête des différentes sections du catalogue de la Bibliothèque de La Brède, puis recopiées dans le tome III des Pensées.

Page 26o, lignes 2 et 3. — Dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page 545), Montesquieu a inscrit ces vers en tète des livres relatifs à l’histoire des Turcs et y a ajouté: « Frag. de Sulpitia».

Page 26o, ligne 5. — Tacite, Annales, liv. II, chap. IV.

Page 26o, lignes 8 et 9. — Ovide {Métamorphoses, liv. I, v. 40o et 401) dit:

Saxa — guis hoc credat, nisi sit pro teste vetustas ? — Ponere duritiem cœpere suumque rigorem.

Page 26o, ligne 11. — Tacite, Annales, liv. I, chap. XLVII.

Page 26o, lignes i3 et 14. — Ovide, Métamorphoses, liv. XI, v. 102 et io3.

Page 26o, ligne 17. — Virgile, Énéide, liv. III, v. 8o.

Page 2Co, ligne 20. — Dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page i3), Montesquieu ne fait pas suivre cette citation de l’indication Tacite, qui ne semble pas exacte.

Page 26o, lignes 23 et 24. — Aulu-Gelle, liv. XIII, chap. VIII, où le vers est cité tel que nous l’avons imprimé, et non comme il l’est dans les Pensées (manuscrites), où l’on trouve:

Ego odi homines ignava opera et philosophica sententia.

Page 261, ligne 2. — Virgile, Énéide, liv. III, v. 658.

Page 261, lignes 3 et 4. — Ovide, Métamorphoses, liv. XIV, v. 784 et 785.

Page 261, ligne 6. — Virgile, Énéide, liv. III, v. 312.

Page 261, lignes 8 et 9.— Horace, Satires, liv. I, vm, v. 2 et 3.

Page 261, ligne 12. —Virgile, Énéide, liv. X, v. 96.

Page 263, ligne 10. — Le discours qui suit a été adressé à Louis XV, par Montesquieu, directeur de l’Académie française, le 3 juin 1739, à l’occasion de la signature du traité de Vienne, qui mit fin à la guerre de la Succession de Pologne.

Page 266, ligne 5. — Le discours qui suit devait être adressé à Marie Leczinska, reine de France, et fille de Stanislas, roi de Pologne.

Page 266, ligne 17. — Le discours qui suit devait être adressé au Dauphin, Louis de France, qui mourut avant son père, en 1765.

Page 267, lignes 1 à 3. — Lorsque Buffon fut nommé membre de l’Académie française, le 23 juin 1753, en remplacement de Languet de Gergy, archevêque de Sens, Montesquieu était directeur de la Compagnie; mais il ne l’était plus le 25 août suivant, jour où Buffon prononça son discours de réception.

Page 267, ligne 29. — Jean-Joseph Languet de Gergy, archevêque de Sens (1677-1753), avait été reçu membre de l’Académie française le 3o juin 1721.

Page 268, ligne 24. — La préface qui suit pourrait bien avoir été destinée au prince Eugène de Savoie.

Page 269, ligne 10.— La préface qui suit semble avoir été destinée à une histoire de la Société de Jésus.

Page 27o, ligne 16. — La préface qui suit doit avoir été destinée à l’Histoire de Louis XIV que Montesquieu projeta.

Page 272, ligne 16. — Le M. Rollin, dont il s’agit ici ne saurait être l’historien célèbre, qui mourut en 1741, c’est-à-dire quatre ans avant la bataille de Fontenoy, mentionnée dans l’épître qui suit. Il faut lire Raulin, nom du médecin dont Montesquieu parle au folio 347 du tome III des Pensées, Joseph Raulin (17o8-1784) fut médecin à Nérac, puis à Paris, et publia, entre autres ouvrages, des Observations de Médecine (Paris, 1754), qu’il dédia au maréchal de Richelieu, et que « le Président de Montesquieu » l’avait exhorté à mettre au jour, ainsi que nous l’apprend l’Avertissement du livre.

Page 274, lignes 6 et 7.— Les mots se pencher et tomber comme ont été écrits en marge, après coup, au lieu de se pencher vers la même ruine que.

Page 277, note 2. — A la page suivante, on trouvera des fragments destinés à l’ouvrage de Montesquieu sur la Critique.

Page 278, ligne 9. — Dans un catalogue qui fait partie des archives de La Brède, et qui donne la liste des manuscrits de Montesquieu envoyés le 10 mars 1818, de France en Angleterre, à son petit-fils, figure: « Un cahier intitulé Réflexions sur la Critique des Ouvrages d’Esprit », avec cette note: « Voir les idées qui sont là-dessus dans le volume de mes Pensées. »

Page 278, ligne 19.— Montesquieu avait écrit d’abord à la suite de l’alinéa qui finit par certain, un autre alinéa, qu’il a biffé:

« Les ouvrages de nos plus beaux génies sont comme les enfants des Amazones, qui devoient être estropiés soudain (?) après leur naissance. »

Page 284, lignes 16 et 17. — Cet alinéa a été ajouté après coup et d’une autre encre.

Page 284, ligne 24. — Plutarque, De l’Amour des Richesses, cbap. I.

Page 284, note 1. — La première ligne de cette note est écrite, d’une encre plus noire que le reste, au haut de la marge et audessus de sept lignes très soigneusement biffées et absolument illisibles.

Page 286, ligne 19. — Le roi Victor dont il s’agit ici est Victor-Amédée II, roi de Sardaigne, qui abdiqua en 173o.

Page 287, ligne 16. — Le M. Rousseau dont il s’agit ici est Jean-Baptiste, et non Jean-Jacques.

Page 289, note 1. — Le manuscrit donne Milord Bulembrock; mais il s’agit ici de Henri Sent-John, vicomte de Bolingbroke (1678-175»), l’écrivain et l’homme d’État anglais que Montesquieu eut l’occasion de beaucoup connaître, sinon d’estimer.

Page 29o, ligne 26. — Le fragment qui suit est à rapprocher des dernières lignes de la préface qui est imprimée ci-dessus, pages 268 et 269.

Page 291, ligne 11. — Voyez dans les Fragmenta Historicorum Grœcorum, tome II (Paris, F. Didot, 1848), le frag. 21 de Nymphiodore.

Page 291, note 1.— Pomponius Mêla, Description de la Terre, liv. I, chap. IX. — Hérodote, Histoire, liv. II, chap. xxxv.

Page 291, note 2. — Diodore de Sicile, liv. I, chap. XXVII.

Page 293, note 1. — Athénée, liv. XIII, chap. Xxxii.

Page 294, note 1. — Hérodote, liv. I, chap. vu.

Page 295, note 1. — Hérodote, liv. IV, chap. CLXVIU.

Page 297, note 1. — Suétone, Auguste, chap. XLIV.

Page 297, note 2. — Suétone, Domitien, chap. IV. Le renvoi à cette note devrait se trouver à la fin de la phrase.

Pages 298, lignes 6 à 9. — Ces lignes ont été ajoutées après coup et d’une autre encre.

Page 298, note 1. — Nous ne savons point à quel passage des Considérations Montesquieu faisait allusion ici, à moins que ce ne fût au commencement du chapitre vil, où il n’est parlé que de Mithridate.

Page 3oo, note 1. —Voyez VEsprit des Lois, liv. XXVI, chap. Xiii.

Page 305, note i. — Cette note a été écrite par Montesquieu, en tête du morceau.

Page 311, note i.—Voyez l’Esprit des Lois, liv. XIV, chap. XI.

Page 315, lignes 8 à 12. — Montesquieu paraît s’être inspiré ici de l’article Pénélope que Bayle a inséré dans son Dictionnaire historique et critique.

Page 315, note 1. — Lilio Gyraldi (1479-1552) est l’auteur d’un ouvrage intitulé: De Diis Gentium Libri sive Syntagmata.

Page 318, lignes 9 et 10. — Henri, comte de Boulainvilliers (1658-1772), est l’auteur d’un livre qui ne parut qu’après sa mort, et dont le titre est: « Histoire de l’ancien Gouvernement de la France, par feu M. le C. de Boulainvilliers (La Haye et Amsterdam, 1727). »

Page 318, ligne 16. — Le manuscrit donne tantôt chartre et tantôt charte, mais bien plus souvent chartre.

Page 319, ligne 3. — Deux chartes de Louis X sont connues sous le nom de Charte normande: la première est du 19 mars 1314, et la seconde, de juillet i3i5.

Page 319, ligne i5. — Nicole Gilles (mort en i5o3) fut secrétaire de Louis XII et auteur du livre intitulé: Les très élégantes, très véridiques et copieuses Annales des très preux, très nobles, très chrestiens et très excellens Modérateurs des belliqueuses Gaules, etc. (1492). Montesquieu en possédait deux éditions posthumes et continuées. La seconde est celle qui fut corrigée, annotée et publiée par Denis Sauvage de Fontenailles (Paris, i56o).

Page 320, ligne 11. — Le Rozier historial de France, dont l’auteur n’est pas connu, se compose de deux parties et fut imprimé à Paris, en i522.

Page 322, lignes 3 à 5.— Cette phrase a été ajoutée par Montesquieu lui-même.

Page 322, lignes 6 et 7. — Le Testament politique de Richelieu a été imprimé, pour la première fois, à Amsterdam, en 1687.

Page 322, ligne n. — A la suite des mots ce genre, on lit cette phrase rayée: < Je crus qu’il faisoit honneur à son auteur. >

Page 322, ligne 23. — A la suite du mot original, on lit ces mots rayés: « qui ayant été reçu du public avec applaudissement. »

Page 323, ligne 2. — Les Testaments publiés sous les noms de Colbert et de Louvois, en i6g3 et en i6g5, ont été fabriqués par Gatien Courtilz de Sandras.

Page 323, lignes 8 et Ij. — Voltaire a écrit un opuscule qui a pour titre : Des Mensonges imprimés et du Testament politique du Cardinal de Richelieu, opuscule dont le commencement fut, d’abord, publié, en 1749, à la suite de la tragédie de Sémiramis, et la fin, en 175o, à la suite d’Oreste.

Page 323, ligne 15. — L’abbé Amable de Burzeis(i6o6 -1672), que le manuscrit appelle Boulzeis et Boulzes, littérateur, diplomate et théologien, fut un des premiers membres de l’Académie française.

Page 325, ligne 12. — Par la Fargy, il faut entendre Madeleine de Silly-Rochepot (morte en 1639), qui épousa M. du Fargis d’Angennes et se fit connaître par son esprit et par ses intrigues.

Page 33o, ligne 26. — Tacite, Germanie, chap. vu.

Page 332, lignes 17 et 18.— Tacite, Germanie, chap. x.

Page 334, lignes 22 à 26. — Cet alinéa a été ajouté par Montesquieu entre les lignes.

Page 335, ligne 16. — A la suite des mots les villages, on trouve, dans le manuscrit, un alinéa rayé et ainsi conçu: < Il n’y a jamais eu de constitution si vicieuse que celle du royaume de France sous cette race. »

Page 337, ligne 6. — A la suite des mots les plaisirs, on trouve, dans le manuscrit, une phrase rayée et ainsi conçue: 1 Bertrade régna sur le cœur de son mari, comme sur celui de son amant. >

Page 338, ligne 24. — Il faut évidemment lire : « le passage de la liberté à la servitude. »

Page 34S, lignes 16 à 25. — Tout le passage qui commence par les mots II est certain, et qui finit par son ambition, a été intercalé après coup.

Page 348, lignes 18 à 3i. — Tout le passage qui commence par les mots Croinwell avoit, et qui finit par son maître, a été intercalé après coup.

Page 349, ligne 19. — Cet alinéa commençait, d’abord, en ces termes: « Louis XII fut l’ornement de son siècle et même de tous les siècles. »

Page 35o, lignes 8 à 14. — Tout le passage qui commence par les mots Jamais les, et qui finit par les fidèles, a été intercalé après coup.

Page 35 1, note 1. — Cette note renvoie à un opuscule auquel l’Auteur a donné pour titre définitif celui de Réflexions sur le Caractère de quelques Princes. Ces Réflexions ont été publiées dans les Mélanges inédits de Montesquieu, page 169. On y trouvera une comparaison de Henri III avec Charles Ier, roi d’Angleterre (page 181), et une étude spéciale sur les vices et sur les fautes de Henri III (page i83).

Page 353, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. VIII, chap. IX.

Page 355, note 1, ligne 5. — Pierre de L’Estoile (1540-1611) a laissé un Journal du Règne de Henri III, publié en 1621, et un Journal du Règne de Henri IV, publié en 1719 seulement. C’est à la fin de ce dernier que se trouve la mention des faits que Montesquieu relève dans cette note.

Page 35ç, note 1. — Jean-Baptiste Nani (1610-1678) est l’auteur d’une Histoire de la République de Venise, dont Montesquieu possédait la 2e (iô63) et la 38 édition (1676).

Page 361, ligne 4. — Toute la fin de l’alinéa, à partir des mots La Maison d’Autriche, a été ajoutée après coup, et, en partie, au-dessus de quelques lignes, très soigneusement biffées, dont la teneur se retrouve plus loin, ligne 27.

Page 364, ligne 8. — Après les mots ses serviteurs, il y a, dans le manuscrit, un passage rayé: « et regardoit leur perte avec une indifférence qui n’a guère jamais eu d’exemple. »

Page 364, note 1. — Claude de Bourdeilles, comte de Montrésor (i6o8-i663), neveu de Brantôme et favori de Gaston, duc d’Orléans, a écrit des Mémoires, publiés à Cologne l’année de sa mort, mais dont Montesquieu possédait l’édition de 1723.

Page 366, ligne 6.— Les mots de Cinq-Mars, ou plutôt de SaintMarc, sont écrits au-dessus des mots le Grand, qui sont rayés.

Page 368, lignes 14 à 16.— Les onze derniers mots de cet alinéa ont été ajoutés après coup, par Montesquieu lui-même. Quel est le troisième méchant citoyen dont il s’agit ici? On a supposé que c’était Maurepas. Alors l’addition serait bien postérieure à la transcription du texte qu’elle complète. Les Morceaux... sur VHistoire de France sont, en effet, insérés dans la première moitié du tome II des Pensées, et, par conséquent, ont dû l’être vers 1740.

Page 369, ligne 24. — Le mot lettres a été écrit, par Montesquieu lui-même, à la place du mot négociations. — Godefroy, comte d’Estrades (16o7-1686), maréchal de. France et diplomate, laissa des papiers, dont on a tiré ses Lettres, Mémoires et Négociations, publiées pour la première fois, mais très mal, en 17o9, soi-disant à Bruxelles, chez Henri Le Jeune, et en réalité a La Haye, chez Abraham de Hondt.

Page 376, note t.— Il y a, en effet, dans le Spicilegium de Montesquieu, notamment vers la fin, qui n’est pas paginée, des anecdotes curieuses sur la Régence.

Page 376, note 2. — Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu lui-même.

Page 379, lignes i3 à i5. — A partir des mots De plus, la fin de l’article a été ajoutée après coup, d’une autre main.

Page 379, ligne 16. — Le Traité des Devoirs, dont les fragments vont suivre, n’était, jusqu’ici, connu que par une Relation imprimée dans la Bibliothèque françoise, tome VI, page 238 (Amsterdam, J.-Fr. Bernard, 1726).

On savait que le commencement en avait été lu par l’Auteur, le Ier mai 1725, à l’Académie de Bordeaux, et l’on possédait l’analyse des premiers chapitres1.

Ce Traité des Devoirs existait encore en 1818. Il est, en effet, mentionné dans la liste des manuscrits envoyés alors, de France en Angleterre, au petit-fils de Montesquieu, liste dont il a été déjà question, à propos de l’ouvrage de notre auteur sur la Critique. Nous y copions textuellement l’article qui suit:

« Un autre cahier, intitulé: Traité des Devoirs, mis au net. Il y a un chapitre: Des devoirs en général ; — 2° de Dieu; — 3° de nos devoirs envers les hommes ; — 4° de la Justice; — 5° de quelques principes de philosophie; — 6° des principes des Stoïciens ; — j° l’habitude de la Justice; — 8° l’imitation (sic) du chapitre précédent; — 90 équivoque grossière du mot de Justice; — 10° des devoirs de l’Homme; — 11° de quelques exemples de la violation des devoirs de l’Homme; — 120 ce que nous devons à la Religion chrétienne, de nous avoir donné l’équité pour tous les hommes; — i3° de la Politique; — 140 du peu d’utilité de la Politique. »

Le 149 et dernier chapitre nous paraît n’avoir été autre chose que le petit traité De la Politique imprimé dans les Mélanges inédits de Montesquieu, à la page i55.

Page 379, note 1. — Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu lui-même.

Page 38o, ligne 19. — Les mots de crédibilité ont été ajoutés par Montesquieu, au-dessus de degré qu’elle.

Page 381, ligne 26. — Le titre De l’Amitié a été ajouté par Montesquieu lui-même.

Page 381, note 1. —Cette note a été ajoutée par Montesquieu

1. Œuvres complètes de Montesquieu, tome VII, page 66. lui-même, entre la fin du n° 6o3 et le commencement du n° 6o4.

Page 383, note 1. — Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu lui-même.

Page 386, ligne 25. — Les mots de Catinat ont été ajoutés par Montesquieu, au-dessus de maréchal a.

Page 388, lignes 11 et 12. — Cicéron, Traité des Devoirs, liv. 1, chap. V.

Page 391, ligne t. — Le manuscrit donne Alhualpa, au lieu de Athualpa ou Atahualpa, nom du roi de Pérou que Pizarre fit périr si misérablement en 1533.

Page 3g 1, ligne 12. — Montézuma (1466-1520) est le roi du Mexique qui régnait alors que ce pays fut conquis par Cortez.

Page 392, ligne i5. — Les mots des maux de la faiblesse de l’esprit ont été mis après coup, et d’une autre main, à la place de de leur superstition.

Page 394, ligne 14. — Le « grand génie » que Montesquieu va combattre n’est autre que Spinoza.

Page 396, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. I, chap. 11.

Page 397, note 2.— Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu lui-même.

Page 398, note 1. — Cette note a été écrite par Montesquieu au-dessus de l’alinéa biffé qui commence par les mots La loi naturelle.

Page 398, note 3. — Cette note a été écrite par Montesquieu à la suite de l’alinéa biffé qui finit par les mots des enfants. Elle commençoit, d’abord, ainsi : «Je me trompe. » Ces trois mots sont maintenant rayés.

Page 401, ligne 3. — Guatimozin, dernier empereur indien du Mexique, succéda, en 1520, à son oncle Montézuma, et fut pendu par les Espagnols, en 022.

Page 405, ligne 29. — Dans le tome II des Pensées, au verso du folio 187, se trouve une seconde version du n° 621. Elle a pour titre : Changement des Mœurs dans une certaine Nation. Nous allons en indiquer les variantes.

Page 406, ligne 2. — Var. : politique, au lieu de royale.

Page 406, lignes 3 et 4. — Var.: changement, au lieu de changement de mœurs.

Page 406, ligne 5. — Var.: des premiers, au lieu de du premier.

Page 406, ligne i5.—Var.: sait tirer, au lieu de quelquefois, tire.

Page 406, ligne 17. — Var.: laissa, au lieu de fixa.

Page 406, ligne 18. — Var. : étoit : jamais prince ne fut moins Propre à donner le ton à son siècle, au lieu de étoit.

Page 406, ligne 19. — Var. : ne put rien changer, au lieu de l’y laissa encore.

Page 406, ligne 20. — Var. : accrut le mal, au lieu de l’accrut.

Page 406, ligne 21. — Var.: les, au lieu de ses.

Page 40(1, ligne 22. — Var.: des, au lieu de de leurs.

Page 406, ligne 23.— Var.: venaient, au lieu de venoient auparavant.

Page 406, lignes 24 et 25. — Var.: l’obtinrent, au lieu de l’obtinrent tout entière.

Page 406, lignes iî à 28. — Var. : Dans la crainte de rougir des jalousies, on rougit des attentions, au lieu de Les femmes... le finissoit.

Page 406, ligne 29. — Var. : et l’on, au lieu de et on.

Page 406, ligne 3i. — Var.: timide. L’ignorance des mœurs fut une espèce de religion persécutée, au lieu de timide.

Page 407, lignes 1 et 2. — Var.: Les conventions furent suivies des conventions. A peine le secret dura-1-il, au lieu de Cluxqtie partie duroit que.

Page 407, lignes 3 et 4. — Var.: le conclure, au lieu de la conclure les dangers.

Page 407, ligne 4. — Var. : un, au lieu de ce.

Page 407, ligne 5. — Var.: lassé, au lieu de lassé et.

Page 407, ligne 6. — Var. : perdit, au lieu de perdit, enfin.

Page 407, lignes 7 à 21. — Var.: La moitié de la Nation commença le jour où l’autre le finissoit. L’oisiveté fut appelée liberté, et Fon appela occupation l’usage immodéré des plaisirs. On voulut porter dans la vie cette joye qui s’annonce dans les festins, au lieu de L’éducation le nôtre.

Page 410, note 1. — Cette note a été ajoutée après coup, dans la marge, et d’une autre main. Elle vise Frédéric-Guillaume I«r, père de Frédéric II. Voyez, sur ce prince, les Voyages de Montesquieu, tome II, pages 19o et 191.

Page 412, note 1. — Cette note est écrite de la main de Montesquieu.

Page 415, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. VIII, chap. IX.

Page 416, lignes 21 et 22. — Montesquieu lui-même a ajouté entre les lignes: et un homme sensé doit l’aimer, au-dessus de lequel on vit

Page 417, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. V, chap. xiv, in fine.

Page 418, lignes 8 et 9. — La phrase Ils ne peuvent est ainsi corrigée dans le manuscrit: « Ils leur font donc sentir ce qu’ils sentent eux-mêmes. » Mais cette correction semble être d’une main moderne.

Page 419, ligne 23. — Au lieu de Non! Non! dit-il; car, Montesquieu avait mis d’abord: « 11 répond affirmativement que non, parce que. t

Page 421, note 1. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. XIX, chap.IV.

Page 422, note 2. — Peut-être Montesquieu avait-il mis, d’abord, la réflexion que vise cette note, vers la fin du chapitre xxn des Considérations, où elle aurait pris très naturellement place.

Page 423, ligne 2. — Arsame est le nom que Montesquieu avoit donné d’abord à son roman d’Arsace et Isménie.

Page 423, ligne i5. — Manco-Capac, frère d’Athualpa, régna quelque temps sur le Pérou (i533-i536), sous la protection des Espagnols.

Page 424, ligne 3o. — Nous comblons ici une lacune du manuscrit au moyen des Lettres de Kanti. Voyez ci-dessus, page 246.

Page 426, lignes 5 à 9. — Ce jugement est à rapprocher d’un passage qui se trouve dans les Mélanges inédits de Montesquieu, page 182 (Réflexions sur... quelques Princes).

Page 426, ligne 23. — Les motsrfe France sont écrits au-dessus des mots d’Espagne, qui sont rayés.

Page 426, ligne 25. — Les paroles de Sénèque nous ont été conservées par Tacite (Annales, liv. XIV, chap. Lxiii).

Page 429, lignes 5 à 10.— Montesquieu a développé cette idée dans l’Esprit des Lois (liv. XXIV, chap. 11), en citant les Pensées sur la Comète de Bayle.

Page 429, ligne 26. — Ce qui suit semble être la rédaction définitive d’idées que l’on a déjà trouvées ci-dessus, à la page 419, ligne 20.

Page 431, ligne 5. — Ce qui suit semble être la rédaction définitive d’idées que l’on a déjà trouvées ci-dessus, à la page 421, ligne 4.

Page 439, lignes 18 à 24. — Cet alinéa est à rapprocher d’un passage qui se trouve à la fin d’Arsace et Isménie (Œuvres complètes de Montesquieu, tome II, page 425).

Page 440, ligne 18. — Cet article est transcrit, dans le tome III des Pensées (manuscrites), au milieu des Matériaux qui n’ont pu entrer dans V « Esprit des Loix ».

Page 440, note 1. — De cette note, il semble résulter que le recueil auquel Montesquieu voulait donner le titre de Journaux de Livres peu connus se confondait avec sa Bibliothèque Espagnole. Voyez ci-dessus, page 417.

Page 447, ligne 3. — Cicéron, De la Nature des Dieux, liv. I, chap. Xxviii.

Page 449, lignes 12 à 15. — Ralph Cudworth (1617-1688) a exposé la théorie des « natures plastiques » dans son Vrai Système intellectuel de F Univers (Londres, 1678).

Page 449, ligne 29. — Peut-être faut-il lire ici que, au lieu de Point.

Page 4D2, lignes 22 et 23. — Isaïe, chap. XLV, vt. i5. Page 453, ligne 23. — Epître aux Romains, chap. VIII, vt. 28.

Page 453, ligne 26.— Ibid., chap. vin, vts. 29 et 3o.

Page 454, ligne 22. — Ibid., chap. IX, vts. 11 à i3.

Page 455, ligne 9. — Ibid., chap. IX, vts. 20 et 2i.

Page 456, ligne 6. — Ibid., chap. XI, vts. 3o et 3i.

Page 456, ligne 11.— Ibid., chap. XI, vt. 33.

Page 46o, ligne 5. — Montesquieu avait mis d’abord: * témoin les hypotyposes de Sextus Empiri., Pyrrhon. »

Page 462, ligne 26.— Montesquieu avait, d’abord, ajouté à cette phrase ce qui suit: « Je voudrais lui demander comment il peut y avoir du haut et du bas, que par les inégalités de la Terre. »

Page 464, lignes 6 et 7. — Montesquieu parle de « l’expérience de Van Helmont» dans ses Voyages, tome Ier, page 41.

Page 465, lignes 19 à 22.— Les mots que les sources et toute la fin de l’alinéa sont écrits de la main de Montesquieu. Il parle ici du Brenner. Voyez ses Voyages, tome II, page 133.

Page 466, ligne 20 à 22. — Cet alinéa a été ajouté, par Montesquieu lui-même, entre les lignes.

Page 466, note 1.— Cette note a été intercalée dans le texte par Montesquieu lui-même.

Page 467, lignes 6 à 8. — Montesquieu lui-même a ajouté, dans cet alinéa, les mots des rivières et la phrase J’en ai vu..., phrase qu’il y a lieu de rapprocher de ce que l’Auteur dit dans ses Voyages, tome Ier, page 34.

Page 467, ligne i3. — Le manuscrit donne pousses.

Page 467, ligne 25. — Le manuscrit donne Milesolt(?), au lieu de Mittenwald. Montesquieu parle de ce village et des neiges qu’on y voit, dans ses Voyages, tome II, page 135.

Page 468, note 1.— Cette note a été écrite, dans la marge, par Montesquieu lui-même.

Page 469, lignes 21 et 22. — Genèse, chap. I, vt. 21.

Page 47o, ligne 21. — Robert Hooke (1635-i7o3) est l’auteur d’une Micrographie ou Description physiologique des plus petits Corps (Londres, 1667).

Page 471, lignes i5 et 16. — La dernière phrase de l’alinéa a été ajoutée après coup.

Page 473, note 2. — Il s’agit ici de Clélie Grillo, épouse du comte Jean-Benoît Borromée,. savanie Italienne dont Montesquieu parle dans ses Voyages, tome Ier, page 92, et tome II, page 99.

Page 474, note 1. — Joseph Addison (1672-1719) est l’auteur de Remarques sur divers Endroits de l’Italie (Londres, 17o5).

Page 475, ligne 5. — Les mots de l’Évangile ont été ajoutés, au-dessus de la ligne, par Montesquieu lui-même.

Page 476, lignes 17 à 20.— Montesquieu renvoie ici à ses Réflexions sur les Habitants de Rome, imprimées dans ses Voyages, tome II, page 377.

Page 476, note 1.— Voyez l’Esprit des Lois, livre XXIII, chap. xiv.

Page 477, lignes 4 à 8. — Montesquieu paraît se ressouvenir ici de certains passages du Banquet des Sept Sages (chap. m), des Propos de Table, etc., plutôt que de la Vie de Caton l’Ancien, où Plutarque (chap. XX) ne parle des bains qu’incidemment.

Page 478, ligne 12. — Le manuscrit donne Dampierre, mais il faut lire Dampier. William Dampier (né en 1652) est l’auteur d’un Nouveau Voyage autour du Monde, publié à Londres, en 1697-17o7.

Page 479, lignes i3 à 16. — La dernière phrase de ce fragment a été ajoutée, entre les lignes, par Montesquieu luimême.

Page 479, ligne 17. — Pierre Chirac (1652-1732), fut médecin de Louis XV.

Page 479, ligne 25. — Artémidore, d’Éphèse, est l’auteur de l ’ Oneirocritica, traité sur l’interprétation des songes, où se trouve (liv. I, chap. Lxiv) le passage visé dans le texte.

Page 481, lignes 24 et 25. — Saint Mathieu, Évangile, chap. vm, vt. 10.

Page 481, ligne 22.— Il s’agit ici de Jean-Claude-Adrien Helvétius (i685-1755), fils d’Adrien, également médecin, et père de Claude-Adrien, auteur du livre De l’Esprit.

Page 485, ligne r. — Dans la relation de son premier voyage à Bender-Abbassy, en 1674, Chardin rapporte ce qui suit: «Les maladies les plus ordinaires dans ce lieu sont la dyssentrie, le flux de sang et les fièvres malignes. » Voyez la page 239 du tome IX des Voyages de... Chardin.

Page 485, ligne 4.— Nous avons déjà consacré une note à « M. Raulin, célèbre médecin de Nérac », et à ses Observations de Médecine, où l’on trouve, à la page 327, une Dissertation sur les Ingrédients de l’Air.

Page 487, ligne 4. — Jean-Baptiste Silva (1682-1748) est l’auteur d’un Traité de V Usage de différentes Sortes de Saignées (Amsterdam, 1729).

Page 488, ligne 3o. — C’est de Louis Béchameil, marquis de Nointel, mort en 1718, qu’il s’agit, sans doute, ici.

Page 49o, lignes 5 et 6. — Il s’agit ici de Camille Le Tellier, abbé de Louvois, 4e fils du célèbre ministre de Louis XIV (1675-1718).

Page 49o, ligne 10. — François-Eudes de Mézeray (i6io-i683) écrivit d’abord une grande Histoire de France (Paris, 1643-1646I65i), puis un Abrégé chronologique de l’Histoire de France (Paris, 1668), ouvrages qui se trouvaient, l’un et l’autre, dans la |Bibliotbèque de La Brède.

Page 49o, ligne 17.— Dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page 435), on trouve la mention suivante : « Novus Orbis Regionum ac Insularum Veteribus incognitarum. Basileœ, 1 S}2, fol.: 1 vol.»

Page 49o, note 1. — Cette note est écrite dans la marge et d’une écriture différente. Il s’agit, sans doute, ici de l’expédition de Charles-Edouard Stuart, petit-fils de Jacques IL Elle eut lieu en 1745 et 1746.

Page 491, lignes 7 et 8. — Il s’agit ici du prince Eugène de Savoie (1663-1736), que Montesquieu connut à Vienne, en 1728.

Page 492, lignes 19 et 20. — Genèse, chap. iv, vt. 22.

Pag* 493, ligne 6. — Diodore de Sicile, liv. II, chap. IX.

Page 494, lignes 14 à 18. — Voyez dans les Fragmenta Histcricorum Grcecorum, tome IV (Paris, F. Didot, i885), le frag. i65 de Jean d’Antioche.

Page 499, ligne 21. — Jean-Alphonse Borelli (1608-1679) écrivit, entre autres ouvrages, un traité De Motu Animalium, qu’il laissa inachevé, mais dont les tomes I et II furent publiés à Rome, après sa mort, en 1Ô8o et 1681.

Page 5oo, ligne 4. — Virus Behring (168o-1741) fit, au service de la Russie, des explorations dans l’Océan pacifique et découvrit la mer qui porte son nom.

Page 5oo, ligne 5.— Guillaume de L’Isle (1675-1726) fut, comme Claude de L’Isle, son père, géographe du roi de France.

Page 5oi, ligne 28.—Justin, liv. XXXII, chap. m.

Page 5o2, lignes 26 et 27. — Il s’agit ici des guerres de Gustave-Adolphe, de Charles X et de Charles XII.

Page 5o4, note t. — Voyez l’Esprit des Lois, liv. XVII, chap. III.

Page 5o5, ligne 8. — Il s’agit ici de Charles-Henri de Lorraine, prince de Vaudémont (1649-1723), fils de Charles IV, duc de Lorraine.