Poésies de voyage/04
Apparence
Poésies de voyage
IV.
la maison de l’avare.
« Quand vous seriez de la race du chien,
« Entrez dans ma maison si vous avez du bien. »
Ainsi parlait le seuil de ce logis infâme,
Et l’avare ajoutait, montrant toute son ame :
Quand vous seriez de la race du roi,
« Si vous n’avez plus rien, passez. Chacun chez soi. »
[[Catégorie: ]]