Poésies de voyage/05
Apparence
Poésies de voyage
V.
à marie.
À midi, quand j’entrai dans ta chaumière sombre,
Tu dormais, succombant à la chaleur du jour ;
Tes cheveux dénoués flottaient, noirs et sans nombre ;
Je te vis, et sur moi planaient encor dans l’ombre
Les grandes ailes de l’Amour.
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