Monsr de Sainct-Genyés, J’ay approuvé le party que vous avés pris sur les pouldres, et vous donne charge d’entendre ce porteur. Mandés-moy des nouvelles et ce que vous en pensés. Je n’ay receu vostre despesche des six mille escus ; il fault qu’elle aye esté prise par les chemins ; mais j’ay sceu les pilleries et butins que font les soldats. Vive Dieu ! donnés y ordre ; vous m’en respondés sur l’amitié que je vous porte ; et qu’il ne paroisse que le maistre n’est en sa maison. Monsr de Sainct Genyez, qui s’en prend à mon peuple s’en prend à moy. À Dieu, aimés tousjours
Vostre trez affectionné maistre et parfaict amy,