[1581. — mars.[1]] — IIIme.
Orig. autographe. – B. R. Fonds Béthune, Ms. 8824, fol. 56 recto.
Monsieur mon Oncle, La suffisance de monsr de la Roche et la creance qu’il a en vous me dispenseront de vous faire longue lettre. Il vous dira comme nous avançons la paix tant qu’il nous est possible, ayans, ces Jours, accordé avec ceux du Bas-Languedoc. Il me reste à voir monsieur le Prince[2], ce que j’espere bien tost. Tenez-moy cependant pour homme de parole, tel que je vous ay tousjours mandé et que vous dira le dict sieur de la Roche, me continuant vostre amitié et bonne grace comme à celuy qui ne sera jamais aultre que
Vostre bien humble neveu, à vous obeir comme filz,
- ↑ Cette date se trouve en tête de la lettre originale, où elle a été probablement ajoutée par M. de Béthune, qui a formé la collection de ce nom.
- ↑ Voyez la lettre du 2 mai suivant à M. de la Bergerie.