Souffise vous bel accueil,
Sire, trop me requérez[1],
Tout perdrez se tout querez.
Plus donner je ne vous vueil[2]
A pesent, mais espérez,
Souffise vous bel accueil.
Toudis plus que je ne sueil[3]
Vous donne, et plus acquérez[4]
Et tant plus me surquerez,[5]
Souffise vous bel accueil.