Pierrot, qui n’a rien d’un Clitandre,
Vide un flacon sans plus attendre,
Et, pratique, entame un pâté.
Cassandre, au fond de l’avenue,
Verse une larme méconnue
Sur son neveu déshérité.
Ce faquin d’Arlequin combine
L’enlèvement de Colombine
Et pirouette quatre fois.
Colombine rêve, surprise
De sentir un cœur dans la brise
Et d’entendre en son cœur des voix.
« Fêtes galantes (1902)/Pantomime » : différence entre les versions
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Version du 11 janvier 2010 à 22:41